Pratique les banlieues et leurs imageries imposées
par des médias à effet grossissant. Désignées comme
zone de non-droits. Loin, à la périphérie des villes.
No-mans-land de tout,arrangeant pour tous.
Cet agglomérat de béton, aux accents de refus face à l'imposé.
Sont des lieux de résistance devant un Etat démissionnaire de tout
et incompétent
Le droit à l'insurrection est une légitimité historique, si l'Etat
cherche à rompre le contrat social.
Mais, ce miroir déformant, orchestré par la collusion des
politiques et médias, ne serait-il pas une diversion?
Est-ce-que les véritables zones de non-droit ne sont-ils pas
situées au coeur même des villes?
Le lotissement, le quartier, la résidence sont devenus des
laboratoires où, l'on influe par une méthodologie au
stymulus psychologique sur le comporte-mental des
habitants.
A été réussi là, où toutes les dictatures ont échouées,
l'acceptation du plus grand nombre à son propre
emprisonnement mentale, le visionnage de ses allées
et venues, l'écoute à distance mais surtout la récupération
par des moyens technique de leur timbre de voix donc
de leurs identités, à des fins "répréssives".
Ce concept névrotique met en place un eugénisme de
voisinage avec pour but d'ôter les tabous, la Loi.
Cet endroit existe, c'est mon quartier: les Chaumières.
Rien de particulier dans son environnement et chez ses
habitants, sauf une chose.
Rendre la vie accessoire.