"A Bordeaux, (où) ils étaient entre 500 et un millier, [...], les manifestants ont déployé sur les marches du Grand Théâtre une banderole vert fluo géante avec écrit "Le nucléaire tue l'avenir". Il se sont ensuite allongé au son d'une sirène, simulant les victimes d'une catastrophe nucléaire.
"Une belle réussite" selon Stéphane Lhomme, un des candidats malheureux à la primaire d'EELV et président de l'association Tchernoblaye, qui milite pour la fermeture de la centrale nucléaire du Blayais (Gironde) qui selon lui doit fermer "avant d'avoir un nouveau Fukushima en France"."
Lire l'article de Sud-Ouest en entier ici :
http://www.sudouest.fr/2011/10/15/plus-de-25-000-manifestants-contre-le-nucleaire-en-france-dont-a-bordeaux-527659-2780.php
Cette manifestation nationale à surtout connu un grand succès à Rennes :
"« Moi, j’évalue notre présence à 40 000 », lance Erwann, un étudiant costarmoricain. Reste que la manifestation de cet après-midi est l’une des plus massives qu’a connue la capitale bretonne. « Nous sommes évidemment très heureux de ce succès. J’espère que dans les mois qui viennent, le Parti socialiste s’en souviendra », a déclaré Nicole Kill-Nielsen, député européenne, qui marchait derrière la banderole d’Europe Écologie les Verts.
Elle venait de laisser repartir vers Paris Cécile Duflot, la porte-parole d’EELV, et Eva Joly, la candidate EELV à la présidentielle, venues à Rennes pour l’ouverture du congrès régional d’Europe Ecologie les Verts. "
Info trouvée ici :
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Rennes-la-manifestation-antinucleaire-gonfle-a-20-000-personnes_40771-2000839-pere-bre_filDMA.Htm
Mise à jour Dimanche 16 octobre 2011 :
"Tchernoblaye et les écologistes dans la rue"
Un millier de personnes selon le président de Tchernoblaye, Stéphane Lhomme, 500 selon la police, ont parcouru Bordeaux hier, passant devant l'agence EDF, faisant les morts au Grand-Théâtre, avant de poser une maquette de la centrale du Blayais sur le miroir d'eau, en guise de piqûre de rappel. En effet, l'installation avait eu les pieds dans l'eau lors de la tempête de 1999. Une partie des installations ont failli être noyées. Dix ans avant Fukushima, la Gironde aurait pu connaître un accident majeur.
Tchernoblaye milite notamment pour la fermeture de la centrale : « d'ici à 2013, tous ses réacteurs auront atteint leur date initiale de péremption. » Tchernoblaye organise une soirée sur ce thème lundi à 20 h 30, au cinéma du Monteil de Blaye, avec film et débat sur les déchets radioactifs. "
(cliquer ici pour lire l'extrait dans son contexte : http://www.sudouest.fr/2011/10/16/mobilisation-contre-le-nucleaire-527849-710.php