Une table rase, une chaise vide, un banc...?

François Hollande, à la veille des primaires, explique qu'une campagne politique peut être violente, qu'elle oblige à des alliances, qu'il faut rassembler, je comprends, enfin je crois, j'en ai encore envie. Tiens, une affiche, Mé-len-chon, ah ça sonne bien Mélenchon. Je m'approche, je vois bien un nom, puis un nom de blog, Ah, Mélenchon aussi. Mais c'est quoi au juste ? Rien que Mélenchon. Ça rime avec tout Mélenchon, c'est marrant. Enfin lui n'a pas l'air si marrant que ça. Regard au loin, très loin, un peu au-dessus de tout, au-dessus de son épaule gauche surtout.. Le banc est désert, la rue aussi, je vais voir plus loin.