Computer talk to Computer : server is Center, Or NOT ?
Peut-on être dans le meilleur des mondes ? Le meilleur des mondes, avec l’existence d’un Dieu tel que décrit par les livres, serait d’autant plus prometteur. Mais, perdus parmi les mondes, peut-on espérer ne pas être une pièce de mauvaise qualité d’une construction géante ? Doit-on espérer être une pièce d’une construction ? Peut-on espérer être à la hauteur de nos propres exigences ? Certaines exigences sont de l’ordre du devoir.
Comment reconnaître si nous vivons dans le meilleur des mondes ? Si nous sommes dans un monde imparfait, ce meilleur des mondes, nous pourrions peut-être le constituer nous-mêmes. Un Dieu aurait à cœur de respecter ce principe altruiste et d’en faire profiter sa construction.
La charité, pour être réalisée, demande de l’amour, c’est à dire plus de qualités que de défauts chez le destinataire ou tout au moins de l’empathie, c’est à dire la capacité à s’imaginer à la place des autres. A noter que Jésus demandait à ce qu’on aime ses ennemis. Peut-être pensait-il faire empiéter la part amicale de l’ennemi existante sur le reste, au vu et au su de tous ? En tout cas, le cœur et l’empathie ne sont pas démontrables, il faut les transmettre. Il faut les être.
La générosité, la bienfaisance, la bienveillance et la tolérance doivent être démontrés. L’intérêt de l’individu se place automatiquement à un niveau individualiste. Il y a une barrière à franchir entre soi et la communion avec les autres. Ce qui peut l’amener à se rendre utile, c’est de savoir qu’il peut lui être utile de se rendre utile. Que ce soit :
Parce que « Ce que tu fais à ton prochain, ton prédécesseur te le rendra » (Fameuse théorie de François Limprécis),
Parce qu’on vivra dans un monde meilleur,
Parce qu’il est évident que pour bien vivre, il faut préserver l’amour et la bienveillance.
· Il faut donc préserver la possibilité d’être aimé, d’aimer, de pouvoir parvenir à nos buts, nos buts principaux, d’être intègre, de se faire aimer, en harmonie, en respectant la confiance, au gré des rencontres. Le plaisir des rencontres est l’outil optimal de transmission de ce monde.L’espoir fait vivre, et justement, on peut espérer s’entendre sur la logique et la logique de l’homme, comme celle qui nécessite que le monde soit fonctionnel, adapté, bien, meilleur, et même le meilleur, entente qui peut aboutir à des amplifications d’astuces, des organisations… La vitalité dans ce qu’elle a contre toute attente de non-paradoxal ne vaut-elle pas qu’elle soit défendue sans concession, sans circonstance atténuante ? Remarquez le côté théorique et imagé du deuxième prénom. Le problème c’est que la sécurité à outrance, l’occulte, le commerce sont des logiques qui s’entendent aussi.
Il faut donc être cohérent, promouvoir l’utile et reléguer le nocif en suivant des règles comme le respect des buts dont les buts de la partie saine ou peinée du comportement, savoir repérer l’utile, ne pas le confondre avec le nocif, apprendre à bien repérer, comprendre, s’adapter aux devoirs et possibilités déduits, accepter ce nouvel acceptable et au-delà, changer. Reconnaître l’évidence.
Parce qu’on a des devoirs qu’il est logique de s’imposer envers le monde auquel on appartient.
Parce qu’il y a des devoirs qu’on nous impose afin d’être accepté dans certains mondes que l’on aime ou que l’on vénère (ce mot est assez proche du mot vénéneux je dois dire),
Parce que nous avons tous en commun les devoirs de la Terre et les devoirs de la philosophie universelle.
Parce que nous avons tous en commun le but de réaliser nos buts, et donc à restriction d’élément « Moi » équivalente au sein de notre esprit, nous avons tous en commun le but de réaliser l’ensemble des buts.
Parce que quitte à réaliser ses propres buts, nous pouvons peut-être pour peu d’effort réaliser ceux des autres, ce sont peut-être les mêmes.
Parce que nous avons mis en place des organisations assurant cette fonction. Nous sommes tous très bienveillants, nous nous rendons tous compte que nous réalisons 50% de notre travail actif au bénéfice de la société (et bien plus si on compte la part de vie moyenne.)
Parce qu’une injustice faite à 1 seul est une menace faite à tous (Montesquieu je crois.)
Parce que Dieu nous l’ordonne. Ne nous ordonnerait-il pas plutôt de comprendre par nous-même ? Au mieux qu’utiliserait-il, comme moyen de transmission parfait ?
… Lorsqu’un jour, je mis à l’intérieur de la boulangère un peu de confiance pour qu’elle croie que je lui rendrais le pain qu’elle m’a donné, ou autre. Bien entendu, c’était la vérité, sinon on ne saurait plus où s’arrête la vérité, et pourquoi, et pour qui.
La logique des buts m’amena à fructifier les confiances qu’on avait mit en moi. Imaginez, je fais confiance à des démultiplicateurs de confiance, et hop, on peut me faire plus confiance ! Et puis d’abord, je le garde pour moi, le surplus de confiance.
(Pourtant, ce n’est pas sa confiance à lui, à la base, qui a été démultipliée. Et toute multiplication conserve les vraies teneurs de l’emprunt.)
Les démultiplicateurs de confiance aiment avoir de la confiance à démultiplier. Cela leur permet même d’utiliser la leur à créer de nouveaux démultiplicateurs de confiance, ou d’arrêter de démultiplier.
A un détail prêt, c’est là où commencent les confiances en qui il ne fallait pas faire, au départ. En appel au même numéro information, certains possesseurs de beaucoup de confiance mettent dans les mêmes destinations. Celles de la mode du devancement de la récolte de confiance en grande quantité. Le devancement des mêmes destinations.
Et pourquoi ? Parce qu’en le faisant le plus vite possible, à la vitesse infinie, ils bénéficieront de la confiance de ceux qui ne le font pas le plus vite possible, en plus de la multiplication par l’entreprise.
Est-ce que se précipiter pour prendre la confiance que les petits ont mit à l’intérieur de l’entreprise est indispensable ? Est-ce que les actionnaires devraient avoir plus de droits sur l’entreprise que ce que valent les intérêts et leur part du bénéfice ? Est-ce que la culture du devancement de la récolte de confiance dans les mêmes destinations en grande quantité est bonne pour l’entreprise en tant que culture principale ? Peut-on faire n’importe quoi avec la confiance que les autres mettent en soi ? Bien sûr que non.
Le vrai devoir, c’est de devoir profiter ou faire profiter de son travail. Travaille-t-on pour la richesse, le confort, la subsistance ? On aide les autres afin que les autres nous aident. Car on ne peut pas tout faire tous seuls. Mais sachant que le confort provient pour beaucoup du plaisir des rencontres, faut-il que ce soit l’entreprise qui s’oblige à nous donner un sentiment d’appartenance ou mieux ? Faut-il écouter les demandes de stress des actionnaires qui travaillent sans-doute eux-mêmes aussi en entreprise ? Nous passons 8 heures par jour dans l’entreprise. Ce doit donc être un vrai lieu de vie, mais pas un argument de vie.
Car bien qu’il ne faille pas faire disparaître les qualités paradoxales détectées au sein de la diversité des entreprises, une entreprise doit tout de même agir dans un but de développement d’elle-même, d’optimisation du bénéfice, seul bonheur exactement comparable. Pendant les heures optimisées, si vous le désirez, on peut vous installer une corbeille à 5 mètres et bon but. Je ne vois pas la différence.
La véritable différence, c’est de bien répartir les travaux réellement à effectuer entre les personnes réellement capables de les réaliser au mieux, dans un temps non stressé (c’est comme avec la vitesse sur route, 10% de plus double le stress), et de profiter du temps libre restant pour développer soit son plaisir, soit le plaisir des autres, soit en tirer quelque chose, pourquoi pas du temps citoyen.
Les courbes du chômage ont commencé leur grande descension peu après l’arrivée des 35 heures par semaine. Personne ne l’a remarqué, mais d’habitude, pendant les grandes périodes de croissance, elle ne descend pas beaucoup. Et elle ne s’est pas arrêtée. Serait-ce les lois Sarkozy pour qu’on puisse travailler autant qu’on le veut ? Ce sont les employeurs qui proposent de les faire, les heures supplémentaires. Et à quoi bon les inciter, si une embauche est possible ? Ce serait en empêchant les embauches qu’on les aurait sauvées ? Il est vrai que certains métiers manquaient d’employés potentiels, parfois à cause des 35 heures, parfois la mauvaise orientation était prévisible, tout cela doit être guéri. Sarkozy est tout de même un bon président, le problème est qu’on ne peut pas lui faire entièrement confiance, c’est une affaire de style. Son argument, c’est la position de la France dans la compétition internationale, qui ne pouvait effectivement que baisser avec les 35 heures. Effectivement, il y a beaucoup à gagner à rester dans la course, mais il n’y a pas de place pour tous. Et il y a toujours un seul vainqueur. La plus imposante, c’est la place du tricheur. Le tout est de savoir comparer le bonheur, le bonheur au malheur, et non compter la place. Il paraît que la France est désormais dernière en communication sociale.
On remarque que ceux qui subissent le plus grand irrespect au travail, ce sont soit ceux au contact des moins bien lotis spirituellement, dont une compétitivité engendrée non seulement à la tête mais aussi culturellement dans l’entreprise. La véritable remarque, déconjuration de peurs, absence de conjuration ou plaisir des opérations de l’esprit proviendra surtout d’une œuvre comme celle-ci, ou de l’enseignement d’un proche.