
Hasard ? Le projet que nous avons lancé en septembre 2014 avec le rendez-vous photographique de Sète pour documenter la France d’aujourd’hui est particulièrement remarqué par la presse.
Durant toute la semaine, l’Instagram du magazine de la photo Polka accueille les photographes de LA FRANCE VUE D’ICI : un sujet par jour en trois images. Aujourd’hui, ce sont les jeunes agriculteurs de Nadège Abadie.

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Cette semaine encore Elle (version papier) publie un portrait de Yohanne Lamoulère, et s’attarde sur sa façon de photographier les quartiers nord de Marseille.
Cette semaine toujours, Les Inrockuptibles publient une longue interview de Patrice Terraz sur le décrochage scolaire et son reportage "La mauvaise réputation", visible sur le site de LA FRANCE VUE D’ICI.

Patrice Terraz y parle de ce qu’il a vu, de ces yeux de photographe, au lycée professionnel Alfred-Sauvy (non loin de Perpignan). Ce culte du corps, de la prouesse physique qui est souvent ce par quoi « ces gamins qui s’entendent dire depuis leur enfance qu'ils sont nuls » retrouvent l’estime de soi.
Trois sujets, trois regards, parmi les quarante reportages déjà réalisés grâce aux dons des internautes. Mais LA FRANCE VUE D’ICI a encore besoin de vous pour achever sa promesse : faire, jusqu'en 2017, le récit photographique d’un pays bouleversé par les mutations économiques et sociales.
Chaque don à LA FRANCE VUE D’ICI est assorti d’une contrepartie : des exemplaires de La Revue du crieur (co-éditée par La découverte et Mediapart) ; des tirages photo de LA FRANCE VUE D’ICI ; des jeux de cartes postales issues des reportages ; des abonnements à Mediapart, des films à télécharger ; des carnets de notes ; etc. De plus, ce projet est gérée par l’association CeTàVoir qui peut délivrer des reçus fiscaux permettant de déduire des impôts 66% des dons.
Et encore merci d’y participer.

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