"(...) le poids des habitudes, le pouvoir de conviction des firmes de l’agrochimie et la capacité de pression des grandes coopératives, qui exigent de leurs adhérents un certain nombre de pulvérisations sur leurs futures récoltes, tout en leur vendant les produits à épandre. En France, le nombre de traitements est de l’ordre de 2,7 sur les choux-fleurs, 8,5 pour les cerises, 10 sur les melons, 12 pour la tomate, 19 dans la viticulture, 35 sur les pommes. Mais les rendements ne progressent pas pour autant : céréales, oléagineux, poires, pommes, betteraves sont moins productifs qu’en 2009.(...)
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