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Mardi 13 mai, le tribunal a reconnu cette « victimisation secondaire » subie par les plaignantes de la part de l’avocat de Gérard Depardieu lors du procès. Énumérant plusieurs des attaques du pénaliste, le président a évoqué des « propos outranciers, humiliants, portant atteinte à la dignité et destinés à heurter » qui ouvrent la voie à une « indemnisation spécifique ».
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Depuis la révélation de l’affaire Depardieu en 2018, vingt femmes ont accusé l’acteur de violences sexuelles et sexistes, dans la presse ou auprès de la justice. En 2023, Mediapart a dévoilé le témoignage de treize femmes mettant en cause son comportement. En 2024, deux autres femmes l’ont accusé de les avoir agressées sexuellement sur le tournage du film « Les Volets verts » et le comédien, qui conteste les accusations, a été jugé devant le tribunal correctionnel de Paris en mars 2025. Une affaire qui révèle aussi une forme de complaisance française face à #MeToo.
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Portfolio 12 juin 2025
La victimisation secondaire expliquée par Hellogrise
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné Gérard Depardieu à 18 mois de prison avec sursis pour les agressions sexuelles de deux femmes sur le tournage du film « Les Volets verts » en 2021. La victimisation secondaire, liée à la stratégie de défense, est également reconnue. Retour sur cette condamnation symbolique.
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