Il est des solidarités qui ne demandent rien d'autre que d'exister pleinement, et aujourd'hui, malheureusement, qu'à survivre sans chichi, même pas chichement, dans notre société civile commençant à manquer de tout. Au nom de l’humanité, celle qui vous fait vibrer l'âme, qui vous secoue les tripes parfois, au point de vous faire venir les larmes d'autres fois, jusqu'à vous en couper le sommeil, des personnes comme vous et moi, RÉSISTENT pour de vrai quant à eux..., et non occasionnellement juste pour garder leurs privilèges et portefeuilles débordants, mais pour continuer à aider ceux et celles qui en ont le plus besoin. Devant des situations catastrophiques dans la vie de tous les jours de chômeuses-eurs, de précaires de gens pauvres cherchant à s'en sortir, d'autres êtres humains, dont la noblesse de cœur n'a pas besoin de s'afficher en prime time sur les plateaux télé pour prouver leurs "sincérités" et "légitimités politiques", ne peuvent se résigner à laisser faire un marasme budgétaire que l'on pourrait qualifier d'institutionnalisé, voir etatisé et européanisé. Ce qui habite les membres fondateurs-trices de certaines associations et leurs employés-es dévoués-es, est, maintenant, une motivation combattante de longue durée teintée d'angoisse dans l'accélération du court terme de leurs besoins "capitaux". A titre personnel, ces RÉSISTANCES là..., méritent 1700 milliards de fois plus qu'on s'y intéresse...!
Je recopie ici un message du Mouvement National des Chômeuse-eurs et précaires qui se fait le relais et le soutien de l'association "Droit du travail"
