Un dimanche après-midi ,après avoir balayé
le douceâtre et insipideDruker,
un coup de poing dans le ventre
un moment de magie, une larme bienfaisante,
avec le Mahler ChamberOrchestra
dirigé par Daniel Harding,dans la Symphonie du Nouveau Monde de Dvorak.
Ce jeune homme ,cet ange musicien
dirige à mains nues,
et nous restons scotchés à l'écran.
Comme un être de lumière ,
il accompagne le son jusqu ' auciel,
lui même , en suspens.
C'est bien dans « un nouveau monde »
que j 'arrivai,un monde où tous ceux
que j 'ai aimés et qui ne sont plus là, m ' ont accueillie.
Tant qu' il y aura de vraismusiciens ,
de vrais compositeurs
et non des tapeurs de machine à écrire,
il y aura des vibrations d'amour .