C’est le temps du printemps. Il paresse dans la quiétude d’un jour sans souci. Il avait presque oublié ces moments de l’enfance où l’on regarde les nuages pour les redessiner de mille images.Les yeux dans les cieux, il met le cap vers une silhouette cotonneuse portée par le vent du matin.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
C’est le temps du printemps. Il paresse dans la quiétude d’un jour sans souci. Il avait presque oublié ces moments de l’enfance où l’on regarde les nuages pour les redessiner de mille images.Les yeux dans les cieux, il met le cap vers une silhouette cotonneuse portée par le vent du matin. Une vahiné aux seins lourds flotte dans ce coin de bleu. Taille fine et hanches généreuses, la fille de l’air déploie ses charmes. La danse de ses longs bras l’enveloppe, le cajole, déplie dans son regard un chemin de volupté. Ce corps modelé dans une ouate pulpeuse le trouble et il se plaît à rêver à la bienveillance de ses formes. Mais déjà, la sirène du ciel tangue vers d’autres rives, s’arc-boute dans l’indolence du vent pour épouser de nouveaux rêves. C’est ainsi, dans les nuages vivent mille images au parfum de septième ciel.
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