
Quelques jours avant son départ, j'avais suggéré à Myriam Entraygues d'inviter Bonne-voglie dans l'édition des "petits plaisirs". Nous n'avons pas eu le temps de le faire... Je reste persuadé que Lionel nous aurait donné de très beaux PPJ.
Je reprends ici le commentaire que j'ai laissé sur son dernier billet, en PPJ nostalgique et un peu triste, parce qu'il se terminait sur une note d'espoir.
M'enfin, Lionel! On n'a pas le dos tourné depuis cinq minutes et tu as disparu quand on revient... Comment je vais faire, moi, maintenant, pour te rendre les petits bouts de nuages que je t'empruntais/volais, la nuit, pendant que tu dormais à l'autre bout d'un stratus? Et comment je fais pour en redescendre, de mes quarts de nuage, maintenant que tu n'es plus là pour me faire la courte-échelle à l'envers? Le septième ciel me paraît vide, soudain, sans toi! Et tu m'y abandonnes, coincé... Que les meilleurs vents te portent cependant, gamin, aussi loin, aussi haut que tu le souhaites, selon tes carnets de vol, en cumulus que tu pilotes si bien!