Une idée pareille, il y avait de quoi en faire une start-up. Heureusement, Xavier Courteix a préféré réaliser ce cauchemar technologique en roman-photo. Chapitre 3 : mise en pratique et changement de dimension...
Les urgences de l’hôpital Pellegrin régulent l’accès des patients en soirée et la nuit. Cela ne règle rien aux dysfonctionnements de l’établissement, mettent en garde les urgentistes bordelais. Épuisés par leur métier, ils sont nombreux à renoncer à leur vocation.
À l’issue du congrès qui s’ouvre dimanche, Frédéric Souillot devrait largement l’emporter et prendre la suite d’Yves Veyrier à la tête du syndicat. Inconnu du grand public, l’homme incarne, jusqu’à la caricature, le savant équilibre qui prévaut entre les tendances concurrentes de FO.
La compagnie aérienne a été condamnée, en appel, à verser 8,6 millions d’euros de dommages et intérêts pour « travail dissimulé ». La firme irlandaise avait employé 127 salariés à Marseille entre 2007 et 2010, sans verser de cotisations sociales en France. Elle va se pourvoir en cassation.
Modèle français du travail en prison, le centre de détention d’Oermingen a inspiré une réforme du code pénitentiaire ainsi qu’un « contrat d’emploi pénitentiaire ». Mais entre manque de moyens et concessionnaires rétifs à tout effort supplémentaire, la direction bataille pour garder le même nombre de postes dans ses ateliers.
Comment déliter efficacement un service public de soins ? Rien de plus simple : grâce à l'utilisation intensive de techniques managériales, grâce à l'imposition d'un langage disruptif et de procédures conformes, vous pourrez rapidement sacrifier, dépecer, puis privatiser les parties rentables pour le plus grand bonheur de vos amis à but lucratif. En avant toute pour le profit !
Il ne faudrait pas que l’avenir du service public d’éducation soit absent du débat politique à l’occasion des législatives de juin. Selon que les enjeux seront clairement posés ou non, en fonction aussi des expériences conduites dans divers pays, les cinq prochaines années se traduiront par moins ou mieux de service public d’éducation.
Les salarié·es du médicosocial se mobilisent à nouveau les 31 mai et 1er juin. Iels réclament toujours des moyens supplémentaires pour redonner aux métiers du secteur une attractivité perdue depuis longtemps. Les syndicats employeurs, soutenus par le gouvernement, avancent leurs pions dans les négociations d'une nouvelle convention collective avec comme levier le Ségur de la santé.