pierre guerrini

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Billet de blog 13 novembre 2015

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Des prélèvements d'organes sur des êtres vivants en Chine.

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© Flying Cloud Productions

Les chiffres varient.

S’ils varient, si telle est leur amplitude, si tel est l’écart entre eux, entre chaque, c’est que le sujet est abominable, que l’abominable est le fait de la première puissance mondiale, dont Napoléon avait prédit la crainte pour l’humanité, non pas qu’elle, la Chine, ne s’éveille, c’était pour lui, le visionnaire qui régnait sur l’Europe, l’évidence même, l‘évidence de l’inéluctable en chemin, l’évidence crasse, comme l’annonce faite à l’humanité d’un orage à venir, long et douloureux, d’un enténèbrement graduel, progressif et irrépressible, de l’arrivée sur le monde de l’ombre menaçante du Dibbouk, de son affreux cortège de catastrophes, et que « gare au jour de son éveil », entendez par éveil, non pas le but, l’objectif à atteindre que prône tout bouddhiste, tout bouddhiste qui se propose, pour le bien de tous et de tous les êtres sensibles, et avec lui le Sangha - la communauté des bouddhistes fidèle au Dharma  - les enseignements – et portés et illuminées par eux,  l’éveil à d’atteindre.

Que nenni que cet Eveil, le régime de Pékin le craint, comme l’Europe de l’Ancien-Régime, avec laquelle Europe il n’est pas sans ressemblance, craignait la peste et toute les grandes épidémies qui menaçaient et raréfiaient la vie dans les campagnes et dans les villes aussi.

Que nenni  cet éveil, le régime de Pékin y voit son pire ennemi, avec en figure de proue de l’étendard brandi de la foi en la paix sur terre pour toutes et tous, et tous les êtres et espèces sensibles, avec en figure de proue la personne, qui, depuis les lointains confins des contreforts montagneux et enneigés du Tibet, le porte à bras le corps, si prés du cœur, le cœur en bandoulière,  la motivation indéfectiblement chevillée à l’âme, comme la planète Terre l’est à son système qui en compte sept autres, comme la planète, la bleue, nous n’en avons pas d’autres, comme la planète, et les autres de son systéme, le sont, chevillées, corps et âme, et aimantées par la gigantesque étoile lumineuse qui l’éclaire, et lui procure vie et avenir, dont on appelle l’apparition quotidienne et matinale, l’aurore, avec en figure de proue solaire Sa Sainteté Le XIV em Dalai-Lama, Tenzin Giatso, longue-vie-à-lui, le petit enfant encore complètement inconnu, parti, à l’âge de trois ans, de son petit village de Amdo natal, pour Lhassa, et, par la force souvent cruelle des choses et la bénéfique puissance irrépressible et incommensurable du Dharma, à la conquête, à la conquête complète et  absolument pacifiste de toute la planète, de la planète, pour le bien de tous les êtres sensibles qui l’habitent et qu’elle abrite,  de la planète dans son entièreté,

Le régime de Pékin y voit son pire ennemi, avec en figure de proue de l’étendard brandi de la foi en la paix pour tous sur terre, l’homme énergique, dont le régime chinois craignait, par dessus tout, ayant été annoncée, sa survenue et son accession au trône, au trône des Dalaï-lama,  l’homme énergique incarné par Tenzin Giatso, le 14 em Dalaï-lama, Avalokitésvara à l’immarscessible compassion à l’énergie  rayonnante, « longue vie à lui ».

Deux systèmes venus d’Asie, aux antipodes, l’un à l’assaut du monde, l’autre son hôte incommensurable.

Deux systèmes, l’un, le Bouddhisme Tantrique Tibétain, centré sur l'homme, asymptote en arc-enc-ciel, nourrie depuis les profondeurs insondables des gouffres indiens jusqu’aux hauteurs tibétaines et himalayennes où il va perdurer et gagner en puissance, l' issu de deux terres, le sous-continent indien, l’université indienne mythique de Narenda, l’Inde multimillénaire, et première démocratie au monde, anglicisée, émancipée et libérée, accueillante, terre du Bouddha.

Deux systèmes dont il est loisible, à tout un chacun sur la planète, sur l'entiéreté de la planète parce que c’est de ça dont il s’agit, de ça dont il est question, rigoureusement question, urgemment question, de ça qu'il s'agit de diffuser, de faire savoir, d’informer et mettre en garde, d’avertir, deux systèmes dont il est loisible, à, donc, tout un chacun sur la planète, d’appréhender, avec clarté et justesse, selon les informations qui ne cessent de parvenir, et dont nombre sont tues, criminellement tues, de prendre conscience de la nocivité extrême de l'un des deux, qui veut la peau de l'autre, de la dangerosité du criminel régime dirigé par le Parti Communiste et son dictateur à sa tête et des conséquences de son action, sur les deux pays respectifs, dont l’un s’est approprié l’autre, sur l’état des deux pays, sur l’état physique des terres, des eaux et de tout l'environnement de ces deux pays, l’un, l'Occupé, en état de destruction avancée, de déconstruction concertée et planifiée pour servir de base arrière à la voracité énergétique de l’autre, de l’autre, qui peaufine savemment  et magistralement sa conquête brutale et sans merci du monde.

Deux systèmes aux antipodes, deux systèmes radicalement autres, radicalement et ontologiquement dissemblables, dont l’un l’antagoniste fondamental de l’autre et de tous ceux qui ne s’asservissent pas devant lui.

Deux systémes dont il est loisible à tout un chacun d’apprécier valeurs et fondements, et aux travers d’eux, à l’aune de l’exemple concret offert comme en témoignage au reste du monde, de la valeur, de la viabilité humaine de chacun d’eux.

Deux systèmes dont l’un est l’argent, la puissance et le pouvoir que sa possession confère. Deux systèmes dont l’un est l’argent, la puissance et le pouvoir.

Malheur et souffrance pour l’autre sur sa terre. Destruction de sa langue et de sa culture, avilissement de sa terre à des fins de captation d’énergie.

Les chiffres varient. Et ils sont terribles.

S’ils varient, si telle est leur amplitude, si tel est l’écart entre eux, entre chaque, c’est que le sujet est abominable, que l’abominable est le fait de la première puissance mondiale, que dans le fossé qui se creuse entre eux, c’est une humanité, - mot creux, qui se vide de sens, lavé de ses aspérités par un usage répétitif, roboratif et édulcorant -  mais il n’empêche que c’est une humanité, mal en point, qui s’y précipite, qui y sombre, tête la première, dans le fossé qui se creuse, comme les deux bords qui s’éloignent, c’est un maelstrom qui s’y creuse, un maelstrom, trou noir vampirique qui se forme à l’orée de ce millénaire balbutiant, à la surface impavide de nos vies et de celles des nôtres et de tous, et, qui de chair humaine s’abreuve.

Les chiffres varient. Et ils sont terribles.

La Chine a développé une grande et très lucrative industrie de transplantation d’organes sans avoir un système de don d’organes. Au centre de cette industrie florissante, l'homme, l’homme comme matière première.

Le Bonneteau Han, c'est main basse sur le vivant pour un marché de pièces détachées aux besoins illimités.

S’ils varient, si telle est leur amplitude, si tel est l’écart entre eux, entre chaque, c’est que le sujet est abominable, que l’abominable est le fait de la première puissance mondiale, et qu’ainsi écharper la première puissance mondiale, la Chine, pour la nommer, la Chine et avec à sa tête le Parti Communiste Chinois,  - et son glorieux passé, ses dizaines de millions de morts, ses révolutions culturelles et autres épidémies récurrentes de pestes et choléras politiques  -  et qu’ainsi écharper la ..., la Chine, ca ne se fait pas, c’est Tabou.

L’information est une perle, une perle précieuse, une perle qu’il ne faudrait qu’elle se fasse rare et ne puisse plus être portée à la lumière, au su et au vu de tous. Et qu’il n’y ait plus que quelques trop rares inconscients, courageux insensés, pour plonger là où on la trouve, où elle se trouve, en eaux troubles, recluse, étouffée dans l’opacité toxique sur laquelle veille en décrivant silencieusement de larges cercles concentriques les gardiens-esprits-requins des lieux.

Qui leur a échappé … Cette terrible information que Londres eut le cran, le cran et le mérite, l’insigne honneur, de brandir, haut, loin et très fort au dessus des mêlées soudoyées et insanes des médias hexagonaux.

 « Des prélèvements d'organes sur des êtres vivants en Chine. La Communauté internationale le sait, l'Union européenne le sait... Le gouvernement français le sait... Nous leur avons remis un rapport qui traite du sujet. On ne pourra pas dire qu'on ne le savait pas... En attendant, nous demandons aux médias français de reprendre ces informations et d'investiguer... » c.m.

 Le chiffre avancé souterrainement est de deux millions.

Dernièrement, le monde entier, entre silence complice vassalisé et acquiescement tacite et compréhension de caste pour les uns, sidération offusquée et impuissante pour les autres, découvraient avec horreur et, ou, pragmatisme, les nouvelles réalités internationales dont la mise en scène par Buckingham et l’Establishment Britannique au grand complet sur son indéfectible 31, par son caractère officiel, signait la fin d’un monde, et la naissance d’un nouveau monde. Celui de la Nouvelle ère, où « La structure et les relations entre les grandes puissances traversent un remaniement ». Phoenix Télévision

Le dont-acte en une image, on ne peut plus symbolique.

Illustration 2

« Les dirigeants chinois sont clairement ravis de voir la puissance britannique, dont les canonnières ont vaincu si facilement la dynastie Qing en 1842, se déployer maintenant dans une course diplomatique pour plaire à l’empire du Milieu »

 

Illustration 3
Si Velasquez est « le peintre du soir », c’est qu’il sut rendre sensible le soir du monde, celui d’alors, celui de dynasties, jadis rayonnantes et fastueuses, épuisées, qui sombraient, après qu’il plût au temps de les laisser longtemps s’écailler, longtemps endurer intérieurement le sentiment douloureux de cette longue et lente agonie percluse de tragédies et de pertes d’êtres chers.

Si Velasquez est « le peintre du soir », c’est qu’il sut rendre compte, par le pinceau, à ceux là même qui posaient, du travail du temps, comment le temps travaillait sur eux et les leurs, c’est qu’il sut leur rendre sensible, leur rendre compte de leur fin proche.  

Par le livide du trait sans fard, ou, trop fardé, leur dire, leur signifier, leur montrer, leur faire toucher du regard, leur rendre palpable leur fin proche, leur mort.

Illustration 4

                             Philippe IV d'EspagneDiego Velázquez  Galerie Nationale de Londres. 

Le teint cireux, tourbeux de la déroute, de la mélancolie et de la maladie.

Quand c’est de couchant rougeoyant que s’enténèbre la palette du peintre, que se gauchit sa toile dans des postures royales figées par la cire du temps, c’est que le crépuscule des idoles anciennes est si proche qu’il en est devenu palpable.

 Quelle sensation si particulièrement étrange, parfois dérangeante, et toujours riche d’enseignement, que de lire dans l’image, que d’en toucher des doigts, presque de la paume de la main comme une caresse, ce sens qui affleure, que de le toucher des yeux …

Philippe IV d’Espagne et la famille royale surent cela qui ne voulurent plus trop, surement par peur, par sentiment indicible de crainte de ce, qu’intuitivement, ils savaient déjà, que le grand peintre les représentât.

En France, les pouvoirs publics savent, comment en serait-il autrement ?

L’Elysée sait, Matignon sait, le Quai d’Orsay et les services concernés savent … Comment se pourrait-il qu’il en fut autrement ?  Les autorités françaises qui ne pipent mot savent, les autorités qui ne font plus guère autorité ont la bouche cousue.

Prises dans la glaise du marais tourbeux de leur polntique, avec sous les pieds, la boue de la tourbière qui les aspirerait vers le fond où ils resteraient au moindre pas qui équivaudrait à un faux pas fatal, elles courbent l’échine ... et passe la main …

Illustration 5

 Le dirigeant du Parti communiste Chinois, Xi Jinping, etn la Reine Élisabeth II remontent l'avenue Le Mall dans le Carrosse d’État du Jubilé de Diamant, après une cérémonie d’accueil lors de sa première visite au Royaume-Uni, à Londres, le 20 octobre 2015. Yui Mok/WPA Pool/Getty Images

Dans presque le même temps, alors qu’elle recevait tout or dehors et en grande pompe, le dignitaire chinois, la Perfide Albion, que l’on sait fort avisée et perspicace, fidèle à ses traditions, dans le droit fil de ses coutumes, quand-même autrement plus démocratiques que celles de son voisin d’outre-manche, primait « Human harvest », un documentaire inouï sur le meurtre de dizaines de milliers de prisonniers de conscience chinois, pour leurs organes, et octroyait, haut la main, à son réalisateur Leon Lee, le prix du meilleur documentaire d’enquête  internationale en 2015 de l’Association for International Broadcasting (AIB).

Leon Lee, réalisateur du film « Human harvest » (Prélèvements humains), initialement intitulé Davids et Goliath.

Le documentaire a été scénarisé, dirigé et produit par le cinéaste Leon Lee, directeur principal de Flying Cloud Productions, à Vancouver, et produit en délégué par Jason Loftus, chef de production chez Mark Media, à Toronto.

Avant la cérémonie de la remise des prix de l’AIB, le documentaire a été projeté au Parlement britannique.

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Leon Lee, réalisateur du film « Human harvest » (Prélèvements humains), devant le Parlement du Royaume-Uni à Londres où, le 4 novembre 2015, a été projeté son documentaire dénonçant les prélèvements forcés d’organes en Chine. (David Sun / Epoch Times)

Plus tôt cette année, le film avait déjà obtenu le prestigieux prix Peabody.

Le film a également reçu le prix Michael Sullivan FRONTLINE pour le documentaire journalistique et a remporté le premier prix de 50. 000 $ au Viewster Online Film Festival, le plus important festival en ligne du monde.

Illustration 7

Leon Lee, réalisateur du film « Human harvest » (Prélèvements humains) reçoit le prix AIB aux côtés de la présentatrice et correspondante internationale de CNN Hala Gorani (Courtoisie de AIB)

Après avoir remporté le prix de l’AIB, Leon Lee, réalisateur du film, a déclaré : « C’est un grand honneur pour moi et toute l’équipe qui m’a accompagné pendant les huit ans où nous avons tourné le film. J’espère que davantage de gens vont maintenant le regarder et, surtout, qu’il changera les choses et mettra fin aux prélèvements d’organes. »

Les juges qui ont choisi le film ont souligné qu’il  « reflète tout l’horreur de la situation grâce à des témoignages crédibles et une recherche approfondie » et que ces faits  ont « vraiment besoin d’être plus largement connus. »

« Human harvest »  Prélèvements humains

La première puissance économique du monde est en quasi-tête de tous les hit-parades de la production tout azimut et fournit le reste de la planète en à peu-prés tout ce dont le reste de la planète a besoin.

Partout dans le monde les usines ferment, ont fermés, les usines et progressivement tout ce qui pouvait faire l’objet d’une spéculation, d’un profit à moindre cout, d’une rentabilité accrue, le pays du grand dumping érigé en valeur unique et absolue où l’on vent à la criée des populations entières, ce pays ramasse la mise, belote, re-belote et poker d’as et dix de der, pour une bande de malfrats Han d'envergure sans commune mesure avec rien jusqu'à présent de connu.

De par le monde des populations entières se retrouvent reléguées, marginalisées, elles sont légions, elles sont les nouvelles marginalités, par millions, les majorités marginales, déclassifiées, renvoyées à la marge des marges, à l’insolvabilité permanente, à l’inutilité sociale, reléguées dans les bidons-villes de la relègue sociale où se sur-entassent par strates successives, pelletées après pelletées, de nouveaux arrivants et déchus de la veille et de l’avant-veille.

C’est devenu la folie à tel point, cette partie de bonneteau mondial à la Han, cet effet incessant de boomerang entre la pauvreté à foison et la profusion des importations, qu’un candidat probable aux prochaines présidentielles américaines, devant la masse de produits estampillés « made in china » en vente aux us, s’est dit surpris que l’on ne l’ait pas informé que les Etats-Unis avaient, en Asie Han, un 51 unième état. 

En pièces détachées humaines, la chine est première. « Human harvest » (Prélèvements humains)

Besoin d’un cœur, d’un paire de poumons ou d’un seul, d’une rate, d’un foie, pancréas, intestins, anus, globes oculaires, d’absolument quoi que ce soit, l’hypermarché aux ramifications tentaculaires han vous le fournit, et, qui-plus-est on ne peut plus appréciable, en un laps de temps record.

C’est fini les mois et les années d’attente dans l’angoisse du terme.

Avec l’hypermarché Han aux ramifications tentaculaires, votre paire de poumons à la place des vieux tout pourris, rate, foie, pancréas, intestins, anus, globes oculaires livrés et installés en deux semaines maxi.

Quant à la traçabilité filmique, elle révèle la provenance des pièces détachées, en majorité et tout fraichement prélevées de force, et en fonction des besoins et aléas du marché, d’un marché en demande et très porteur, et la provenance des pièces détachées se décline comme tel :

-          Les prisonniers de conscience, y compris les pratiquants de l’ancienne pratique spirituelle du Falun Gong.

-          Les Ouïgours,

-          Les Tibétains

-          et …

-          Les Chrétiens des églises clandestines chinoises.

Le film révèle que les pratiquants de Falun Gong sont les premières victimes de cette pratique.

« Quand j’ai entendu parler de cela en 2006, je ne pouvais pas le croire. J’ai pensé que cela n’avait aucun sens »  Leon Lee.

Néanmoins, il a décidé de se renseigner sur le sujet et il est maintenant convaincu que les prélèvements d’organes sont réellement effectués en Chine, et ce, à une grande échelle, de façon industrielle.

« Nous avons été prudents dans le film. Ce que nous avons montré n’est que la pointe de l’iceberg. » On estime que de 40.000 à 60.000 personnes ont été tuées pour leurs organes en Chine entre 2003 et 2008.

Toutefois, le Leon Lee mentionne le témoignage d’un chirurgien militaire chinois qui avait estimé ce chiffre à plus de 600.000.

« D’autres informations suggèrent qu’il pourrait y avoir 2 millions » a ajouté Leon Lee.

 La situation a maintenant changé. Le film a été diffusé dans 20 pays et il est également disponible en Chine de manière non officielle. « En tant que cinéaste, je suis contre le piratage, mais vous pouvez l’acheter en Chine pour 10 yuans [1,5 euros] ».

Leon Lee est de plus en plus convaincu de la puissance de son film. Il reconnaît également qu’on a besoin davantage d’efforts pour mettre fin aux atrocités qui se déroulent en Chine, même s’il croit que la situation va bientôt changer et que la sensibilisation des gens y contribuera.

« Quand les gens me demandent ce qu’on peut faire devant une Chine si grande et si puissante, je leur dis de passer le mot à leur famille, à leurs amis et collègues, car plus les gens seront au courant, plus vite cela se terminera »

« Nous avons été prudents ... »

« Nous avons été prudents dans le film. Ce que nous avons montré n’est que la pointe de l’iceberg. »

Illustration 8

Quant à la partie immergée de l’iceberg ...

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