Pour arrêter la machine infernale du réchauffement climatique, taxons mieux les...
Le rapport du GIEC invite à mettre enfin en œuvre, de toute urgence, ce qui ne devrait plus être qualifié de « transition », mais de « basculement » énergétique. Mais cela a un coût. L’argent existe, il faut aller le chercher où il est : dans les comptes des multimillionnaires camouflés dans les paradis fiscaux et ceux des multinationales...
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
| par Eva Joly –
Pour arrêter la machine infernale du réchauffement climatique, taxons mieux les multinationales !
Le rapport du GIEC invite à mettre enfin en œuvre, de toute urgence, ce qui ne devrait plus être qualifié de « transition », mais de « basculement » énergétique. Mais cela a un coût. L’argent existe, il faut aller le chercher où il est : dans les comptes des multimillionnaires camouflés dans les paradis fiscaux et ceux des multinationales qui, depuis des décennies, ne payent pas leur juste part d’impôt.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.