Corinne N (avatar)

Corinne N

Abonné·e de Mediapart

Billet publié dans

Édition

Vert-tige

Suivi par 447 abonnés

Billet de blog 29 juin 2016

Corinne N (avatar)

Corinne N

66 ans

Abonné·e de Mediapart

Quand la permaculture sort un village de la misère (Maroc)

Brachoua, Maroc : ils voulaient juste subvenir à leurs besoins alimentaires mais, au final, ils ont fait bien plus que ça : un magnifique exemple de volonté collective.

Corinne N (avatar)

Corinne N

66 ans

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

J'adore ce type d'histoire, ancrée dans la réalité, et qui n'existerait pas sans une volonté et une action collective ! :

"A 50 km de Rabat, le village de Brachoua a vécu pendant longtemps sans eau courante, ni électricité. La situation de précarité des 60 familles y vivant, rendue encore plus difficile par le peu de ressources économiques, a poussé les villageois à se regrouper au sein de l’association Agriculteur moderne et à chercher des solutions qui marchent. Epaulés par l’Association Ibn Albaytar (AIA), ils se lancent dans l’aventure fin 2013. « Lors de notre premier contact avec les membres de l’ONG Agriculteur moderne, nous leur avons fait visiter une ferme biologique aux environs de Rabat. L’idée les a inspirés et ils nous ont proposé de dupliquer les mêmes schémas chez eux », raconte Mohamed Chefchaouni, de l’Association Ibn Albaytar (AIA).

Les villageois, comme de véritables managers, visitent la ferme biologique, tentent de cerner et de comprendre les techniques et décident de développer la permaculture pour assurer leur autosuffisance alimentaire. Cette activité allait par la même occasion apporter au village une ressource économique supplémentaire face à une demande grandissante des produits bio générant des revenus importants. Avec l’aide de quelques membres des « Incroyables comestibles » (1), le travail commence par l’initiation au jardin potager au profit des habitants du village et des élèves d’une école de la région. Cette opération a permis d’introduire les premières notions du développement durable au sein de la communauté de Brachoua. De 2013 à 2015, le nombre des jardins est passé de 1 à 40."

(...)

Source en cliquant ici !

et ici ! :o)

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.