Pas tracteur qui vive sur les plages du midi. Pas trace d’un pseudo-taxi générique à l’aéroport de Nice. Faute d’événements marquants, de fumier déversé sur les plages de sable fin, de purin dans les douches, les vacanciers font réserve de ce soleil qui fait la nique aux météorologues. Profitez, profitez m’sieur-dame avant un automne qui s’annonce morose.
Les péquenots, eux, l’ont dans l’os de leur cheptel qui ne vaut plus un sou vaillant. Les terres sont arides, l’herbe meurt de soif, l’eau du pastis rationnée, le rosé coule à flots. Buvez du lait, disait Mendes France.
On n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent, finies les salades de Bruxelles, les affreux foutent la paix aux Grecs en attendant de les bastonner. C’est la pratique de la torture et, de côté-là, le Jean-Marie national n’a pas perdu la main, C’est à qui mieux-mieux, parricide et infanticide se conjuguent entre gens infréquentables.
L’été ne serait pas l’été sans quelques incendies d’ouest en est. Occasion pour notre président et son ministre de parader dans le sud, de serrer la louche aux soldats du feu et aux flics de Marseille, inscrits au Guinness des records pour une saisie de 6 tonnes de cannabis
A Bornes-les Mimosas, pas un clin d’œil au Fort Brégançon, résidence d’été des présidents, reconvertie en « maison » d’accueil pour les SDF.
Je vous donne ma tête à couper que François Hollande est tenté d’aller à Vallauris, faire révérence au roi d’Arabie pour une poignée de Rafale !