Petit, c'était "Les Belles Histoires d'Oncle Paul". Trop drôle, la pipe fumante, en BD.
Puis, le temps passant, c'était Oncle Bernard.
Reste des souvenirs, des livres, des sons, un humaniste, comme on dit des belles personnes. Je pense que si un évènement nous touche infiniment quand il se produit, l'émotion ressentie résiste au temps. Elle est présente, plus ou moins intensément, revient souvent se signaler, s'imposer, comme pour encore vivre et revivre en nous.
Post-it : relire les anti-manuels d'économie.
