L'appel à la liberté pour la Palestine est poursuivi comme un crime
La diffusion du slogan "From the river to the sea, Palestine will be free" sera désormais poursuivie en Allemagne comme un délit passible d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à trois ans ou d'une amende. Le procureur général de Müchner, Andreas Franck, qui est également chargé de l'antisémitisme au sein de la justice bavaroise, a déjà annoncé que ce slogan serait poursuivi au même titre que les slogans et symboles nazis interdits.
L'interdiction du Hamas, décrétée le 2 novembre par la ministre fédérale de l'Intérieur Nancy Faeser (SPD), sert de base juridique. Le Hamas était certes déjà considéré comme une organisation terroriste illégale, mais Faeser vient de prononcer une nouvelle interdiction spéciale d'association, bien que le Hamas n'ait officiellement aucune organisation en Allemagne.
La décision d'interdiction de cinq pages publiée dans le Bundesanzeiger énumère les "signes distinctifs" du Hamas dont l'utilisation publique est interdite. Sur la liste figure également "le slogan 'Du fleuve à la mer' (en allemand ou dans d'autres langues)". Ainsi, selon le procureur général Franck, la phrase pourrait être punie sur la base de l'article 86a du code pénal, "Utilisation de signes distinctifs d'organisations anticonstitutionnelles et terroristes".
Jusqu'à présent, les procureurs allemands avaient considéré la phrase comme légitime. Elle est en principe couverte par la liberté d'expression, avaient déclaré les parquets de Berlin, Munich et d'autres villes, comme le rapporte le Süddeutsche Zeitung. Celui qui souhaite que la Palestine soit "libre" n'appelle pas d'urgence à la violence, mais peut aussi vouloir dire un changement pacifique du statu quo. Le tribunal administratif de Berlin avait décidé en août dernier que le slogan en lui-même n'était pas punissable.
Mais avec la décision d'interdiction, les conditions juridiques ont changé. Au lieu d'être considérée comme une "incitation à la haine", ce qui suppose une incitation claire à la violence, l'utilisation du slogan peut désormais être punie pour la seule raison que la ministre de l'Intérieur l'a déclaré comme "signe distinctif" d'une organisation interdite.
En réalité, il s'agit d'un acte arbitraire de censure et de répression du droit fondamental à la liberté d'expression.
Ces dernières semaines, des millions de personnes de toutes les religions et nationalités, y compris des Israéliens et de nombreux Juifs, sont descendues dans les rues du monde entier pour protester contre le massacre israélien à Gaza. Les gouvernements qui soutiennent les crimes israéliens y répondent par la censure, l'intimidation et la répression.
En Allemagne, les manifestations pacifiques sont calomniées par les médias comme étant "antisémites" et la police les interdit à tour de bras ou les soumet à des conditions strictes. D'importantes forces de police intimident les participants aux manifestations, censurent chaque mot prononcé ou écrit, arrêtent les participants à tour de bras et confisquent les tracts et les banderoles.
La criminalisation de l'appel à la liberté pour la Palestine est une nouvelle étape dans cette spirale de répression. Dans ce contexte, l'affirmation selon laquelle le cri "from the river to the sea" est un "signe distinctif" du Hamas est tout simplement un mensonge.
Les racines de ce slogan remontent au moins à la création de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) en 1964. Dans la Charte nationale palestinienne, la Palestine était définie comme le territoire historique du mandat britannique de 1947, qui s'étendait du fleuve Jourdain à la mer Méditerranée. Une distinction explicite était faite entre les juifs en tant que groupe religieux et le sionisme en tant que "mouvement politique" "raciste" et "lié à l'impérialisme international". La charte déclarait en outre explicitement que les juifs pouvaient également être des Palestiniens.
L'objectif des Palestiniens était traditionnellement une Palestine laïque et démocratique, sans occupation ni discrimination. Ainsi, le Fatah de Yasser Arafat, longtemps la faction la plus importante et dominante au sein de l'OLP, déclarait en 1969 : "Le Fatah, Mouvement national de libération de la Palestine, proclame solennellement que le but ultime de sa lutte est le rétablissement d'un État de Palestine indépendant et démocratique, dans lequel tous les citoyens, indépendamment de leur religion, jouiront des mêmes droits".
Le Hamas, en revanche, n'a été créé qu'en 1987 en tant que branche palestinienne des Frères musulmans. Dans sa charte révisée de 2017, il se réclame également d'une Palestine "du fleuve Jourdain à la Méditerranée". Ce faisant, elle n'a rien inventé de nouveau, mais a simplement repris une orientation adoptée depuis des décennies par les organisations palestiniennes.
Cette formulation n'apparaissait pas encore dans la charte du Hamas de 1988. Contrairement à cette première charte, la version rédigée trois décennies plus tard distingue elle aussi le Hamas du judaïsme et du sionisme. On y lit : "Le Hamas réaffirme que son conflit est avec le projet sioniste et non avec les juifs en raison de leur religion".
Dans la politique israélienne aussi, bien avant la création du Hamas, il y a toujours eu des références à la formule "du fleuve à la mer". Contrairement à l'interprétation de l'OLP, il ne s'agissait toutefois pas d'un État laïc et démocratique, mais d'"Eretz Israël", un État sous domination juive.
Le parti Likoud du Premier ministre Benjamin Netanyahu, aujourd'hui au pouvoir, a été expressément fondé sur cette base. On peut lire dans sa plate-forme initiale de 1977 : "Le droit du peuple juif à la terre d'Israël est éternel et indiscutable et est lié au droit à la sécurité et à la paix ; c'est pourquoi la Judée et la Samarie ne seront pas confiées à une administration étrangère ; entre la mer et le Jourdain, il n'y aura que la souveraineté israélienne".
L'actuel ministre des Finances Bezalel Smotrich, du parti "Sionisme religieux", dont dépendent aussi en grande partie les colonies de Cisjordanie, a rédigé en 2017 pour un think tank israélien de droite un essai intitulé "Le plan décisif d'Israël", dans lequel on peut lire : "Nous allons faire comprendre que notre aspiration nationale à un État juif du fleuve à la mer est un fait accompli, un fait qui ne peut être discuté ou négocié".
Les partisans de Netanyahou et de Smotrich en Allemagne ne doivent toutefois pas craindre de recevoir la visite du ministère public pour cette raison. Le gouvernement allemand exprime son entière solidarité avec un gouvernement israélien qui met en pratique la politique de tuer et d'expulser les Palestiniens avec une violence meurtrière et le soutient militairement. Ceux qui protestent contre le fait qu'il existe "entre le fleuve et la mer" la liberté et l'égalité des droits au lieu de l'occupation et de l'apartheid sont criminalisés.
Justus Leicht - 15 novembre 2023
Des questions se posent pour la France :
- la couverture médiatique de ce conflit colonial : surtout, ne jamais dire que c'est un conflit colonial depuis 1948, mais reprendre la vieille histoire de la guerre des "civilisations" et du "terrorisme" du Hamas.
- les lynchages médiatiques ET politiques de ceux et celles qui "osent" rappeler que c'est un conflit colonial, y compris avec le soutien des "alliés" d'une coalition qu'ils soutenaient, le temps d'en bénéficier.
- au besoin réhabiliter l'extrême-droite en instrumentalisant la lutte contre l'antisémitisme, quitte à lancer des accusations d'antisémitisme contre ceux et celles qui "osent "redire que c'est un conflit colonial. Et en dépit des travaux de recherche qui démontrent que l'antisémitisme est très largement et très majoritairement le fait de l'extrême-droite.
- interdire les manifestations de soutien aux palestiniens, avec des arguments fallacieux de troubles à l'ordre public, étant entendu que les appels aux meurtres de dirigeant politiques par la LDJ passent crème. Ainsi que divers tabassages de militants juifs pacifistes et même des journalistes. Ce qui ne provoque pas la moindre émotions chez les mercenaires des plateaux tous acquis indiscutablement à l'extrême-droite israélienne, au fanatisme intégristes des colons et bien entendu au "droit" d'Israël à se défendre. Mais les mêmes mercenaires des plateaux (des télés et des radios et autres) n'ont absolument pas éprouvé la moindre émotion après les morts ciblés de 41 journalistes dans le ghetto de Gaza, principalement palestiniens. Ce qui doit faire d'eux des journalistes de "moindre" qualité, selon la règle des morts palestiniens qui ne comptent pas, ou alors très peu.
- laisser abondamment parler l’extrême-droite, qui associe sans vergogne et surtout sans condamnation, profiter de cette « occasion » pour redire la détestation et la haine des musulmans, tous antisémites, c’est bien connu. Écouter alors les responsables politiques encore condamner l’absence de la FI, absence pourtant soigneusement expliquée, mais nier ces explications et encore accuser d’antisémitisme la FI, comme Mme Borne s’y emploie sans vergogne.
- observer que depuis quelques années, absolument tous les militants (ou pas) qui manifestent pour l écologie, pour le social, contre les injustices et les inégalités croissantes sont de plus en plus harcelés par les forces de l’ordre, de plus en plus miliciens au service de la bourgeoisie via une hiérarchie elle aussi au service de la bourgeoisie. Notons aussi que les « manifestants » d’extrême-droites sont souvent protégés par les forces de l’ordre, pactisent même avec celles-ci pour interpeler des manifestants de l’autre bord. Une étonnante « convergence » entre police et milice fasciste, petit rattrapage historique des années 1930 mais aussi du temps béni de la collaboration pétainiste. Tiens, le revoilà, Pétain, celui dont l’extrême-droite tresse des lauriers et à qui Macron rend hommage, oui, à Pétain le déchu. Mais déchu n’existe pas en macronie !
- revenir sur quelques évènements passés, tel la criminalisation de militants écolos, qualifiés de « terroristes » (tiens comme alors le Hamas?) par un ministre en roue libre, ivre de cette liberté absolue de renoncer à l’essence de la démocratie et du droit de manifester. Comment nommer une « démocratie » claquemurée, enfermée par le « désir » ardent d’une seul homme, prépotent narcissique, sans tomber dans l’excès, excès qui sera immédiatement voué aux Gémonies par les… mercenaires des plateaux ?
- revenir aussi sur les tabassages, les mutilations, les gazages, les nassages, les nombreuses interpellations arbitraires et les gardes à vues sous des motifs mensongers te bidonnés… tiens, comment nommer une démocratie où règne cet arbitraire policier, sous l’œil bienveillant d’un seul homme (prépotent président narcissique…)
- se souvenir aussi des avalanches de décisions politiques brutales, à coups de 49.3, 49.3 qui deviennent la règle donc de cette démocratie où plus rien n’est discuté ni argumenté, ce qui pose questions sur la nature (encore ! ) de cette démocratie aux mains de soudards de droite au service de la bourgeoisie, unique très grande bénéficiaire des toutes les lois issues du cerveau de toujours ce même homme qui décide seul de ce qui lui plaît. E Borne ( sans accent sur le E) suit, fidèle suiviste qui dispense les accusations d’antisémitisme comme d’autres lancent des cacahuètes aux mercenaires des plateaux
- élargir à ce que devient le « travail » une « valeur » déjà promue par… Pétain, oui, celui à qui macron a rendu hommage. Une « valeur » qui rapporte de moins en moins à ceux qui en ont un, de « travail »vu l’extrême précarisation des statuts. Et qui devient une punition extrême à ceux qui en sont démunis, donc punis à devoir revenir à un STO de sinistre mémoire. Mais les nantis qui votent ces lois dégueulasses sont du côté de la bourgeoisie assistée de luxe, surtout depuis Macron !
- et encore une loi contre les migrants, avec un Sénat encore plus dégueulasse, qui fait du migrant ce dont a rêvé l’extrême-droite, du coup l’extrême-droite obtient un brevet en combattants contre l’antisémitisme (un hocher inespéré!) de la part des autres droites qui font semblant de se déchirer, à savoir qui sera le plus d’extrême-droite, avec des arbitrages à la fois du prépotent immature mais avec le soutien sans faille des mercenaires des plateaux, cette poignée d’histrions incultes mais excellents en chambres d’échos égotiques. Voir quelques ridicules macronistes dire qu’ils vont se battre sur un (oui, 1) article est peut-être ce qu’il y a de plus méprisable. Souvenez-vous, c’est sur cet article que des membres de la Nupes (les foies jaunes se reconnaissent) ont signé un texte commun, parfaitement inutile mais cela n’enlève rien à la dégueulasserie de ce texte ni à ceux qui l’ont signé ! Vivre sous épée de Damoclès pour une poignée et expulser les autres en les contraignant à encore plus de clandestinité avec ce refus ignoble d’extrême-droite de leur accorder des « papiers », ce n’est pas vivre, très chers et chères petites parvenues essentiellement acquis à la bourgeoisie, tous tel une M Le Pen que vous singeriez à outrance, repus de vos passions tristes et de vos haines recuites.
- allez, une question, en passant : c’est combien déjà le montant des achats en grenades diverses et variés, afin d’équiper « dignement » la police de répression la plus brutale d’Europe, dans ses actions de « pacification » des manifestants ? 78 millions, en € ! Attention les petits écoterroristes et autres manifestants, ça va faire « boum », dans des proportions encore jamais atteintes ! Sainte-Soline, c’était une première en terme de guerre contre des manifestants, oui, de guerre. Mais ceux-là y ont pris goût, faut que ça saigne, et ça va saigner.
- au vu de la radicalisation extrême de l’état qui renonce à la lutte contre les dérèglements climatiques, qui accompagne les développement extrême de l’agrobusiness, qui dérégule et détruit tous les services publics, qui poursuit sans ses politiques d’extrême-enrichissement des bourgeois… (liste non-exhaustive, au vu de tous les fronts ouverts partout), les grenades resterons les meilleures réponses et les plus efficaces pour contrer et terroriser les manifestants, foi de Darmanin. La question de « comment peuvent-ils faire cela » est non pertinente. Ils le font car ils peuvent le faire, ils sont ce qu’ils font, et donc le font. Il doit y avoir des explications psy, mais elles sont non pertinentes aussi. Ces gens là ne recherchent pas des « soins », ils assouvissent des pulsions extrêmes et doivent en jouir, la toute puissance doit procurer des moments de jouissances !!C’est comme une drogue. Ce sont les pires !
- il y a aussi le précédent des confinements, où des populations entières ont accepté de s’enfermer, alors que d’autres étaient sommés d’aller bosser, les premiers de cordées par la suite obligés de bosser 2 ans de plus, comme récompense !
- oui, ce ne sera plus comme avant, disaient certains pendant les confinement ! Excat, c’est bien pire !
-nous avons été les seuls au monde à être obligé de rédiger une attestation de « sortie », et nous l’avons massivement faits ! Expérience sociale d’enfermement volontaire. Et en passant, accusations absolument abjectes contre celles et ceux qui refusaient le vaccin pour lequel des injonctions hystériques à se vacciner nous submergeaient H 24 ! Le bilan ? Les extraordinaires trésors et bénéfices des labos, du jamais vu ! Et des covids longs dont le gouvernement et son absence de politique de santé se fiche complètement ! Et maintenant, ben quoi, le covid règne encore, mais plus rien n’est fait, strictement plus rien ! En 3 ans, nous sommes passés de l’enferment sous contrôle absolu (ah les hélicos sur les plages et les chemins de randos) a plus rien. En attendant la prochaine infection, qui sera encore plus destructrice, car figurez vous que le pouvoir politique continue de saccager l’hôpital public.
- je passe rapidement sur l’éducation dite nationale, qui est désormais le marche-pied d’un ambitieux, et c’est tout !
- la diminutions du nombre de fonctionnaire, leur extrême paupérisation sert les desseins extrême de privatisation pour les potes à Macron.
- potes à Macron comme les actionnaires de la société de l’A 69 qui, oh mais quel hasard, ceux qui l’ont aidé pour le financement de sa campagne présidentielle. Nous aurions pu nous attendre à des campagnes d’information sur ces étranges coïncidences… mais non, calme plat ! Cet épiphénomène dont les médias se fichent est l’un des marqueurs de la société actuelle ! En revanche, depuis exactement depuis le 7 octobre et ça dure encore, les mêmes médias font ce qu’ils savent faire le mieux, un lynchage médiatique d’un responsable politique qu n’a donc pas qualifié de « terroriste » le Hamas. Proposant une analyse en plein accord avec le Droit international. Mais depuis quand les médias pro-israéliens (Tous ? Oui, tous!) se préoccupent de Droit international ? Une « bonne » campagne médiatique de lynchage H 24, purée, c’est bon coco !
- oui, ils paient grassement des cabinets privés comme jamais, cabinets qui à chaque fois disent qu’ils faut réduire la voilure des fonctionnaires et donner aux cabinets privés la gestion de l’état !
- oui, des membres de ces cabinets privés « aident » bénévolement le futur prépotent président, et BIM ! Pendant son mandat, ces cabinets privés obtiennent des contrats massifs de ce même président !
- un ministre de l’éducation nationale en voie de privatisation extrême, en direct d’Ibiza (non, je déconne!) mène avec sa ministre de l’enseignement supérieur en ruines des camarines massives de racisme institutionnel contre (non, vous ne rêvez pas) « l’islamo-gauchisme » dans les universités ! Vous voyez bien les « castors » que vos votes barrages ont très bien empêché l’extrême-droite et ses idées répugnantes de faire les sales mots dits des ministres et le racisme d’état de s’installer ! Bravo les castors et merci pour toute votre œuvre !
- l’étape suivante sera celle de la surveillance de tous et toutes via des systèmes déjà utilisés en… Chine, via des monstres de la société de fabrication des contrôles digitaux. Ah oui, sans oublier ces logiciels espions israéliens ! Pays qui nous (!) achète aussi des armes, ce qui fait a minima de la France une complice de crimes de guerre ! Si les membres des futures commissions d’enquête (sous l’autorité de la CPI) sont nommées et peuvent enquêter, mais cela me semble être une possibilité tellement lointaine que nous serons tous carbonisés par les T° extrême sur la planète !
- je n’oublie pas la fabrication et le commerce des armes, armes qui tuent partout où elles existent, commerce qui échappe complètement via le secret défense à la moindre parcelle d’information. C’est mafia et Cie, et les responsables (antiphrase) politiques ne manquent pas d’imagination pour commercer à l’insu du plein grès des populations. Oui, démocratie et ventes d’armes, ben c’est le mariage de la carpe shootée au captagon avec le lapin sous méthamphétamine qui justement entament des transactions de vente d’armes sous étroites surveillances de mercenaires plus ou moins officiels !
Il y a comme des tendances très lourdes des états actuels, favorables à des systèmes de contraintes immenses contre les populations de plus en plus appauvries à encore devoir subir davantage d’appauvrissement et en être réduit à une lutte de tous contre tous, beaucoup plus meurtrière qu’actuellement ! C’est la seule issue de ce capitalisme destructeur des vies et des conditions de vies sur la planète !
Le capitalisme n’a pas d’autres issues que celle continuer de mener sa guerre contre nous. Vous avez tous les indices sous vos yeux, mais le nombre de gens qui ne voient toujours pas le troupeaux d’éléphants est encore immense, et même peut-être augmente-t-il, vu les shoot de glyphosate qui nous attendent !