Contrairement aux usages outre Atlantique, la France nourrit avec soin la délinquance à tous les niveaux de la gouvernance.
Procureurs à la solde du pouvoir en place, juges sans état d’âme ni probité, joyeusement parjures pour servir la criminalité organisée solidement installée aux commandes du pays.
Appuyés par la « fraternité » devenue elle-même en grande partie mafia, les "soeurs" participent activement à toutes les méthodes de harcèlement et de petite délinquance, couvertes systématiquement par les politiciens régionaux en place, faisant de leur réseaux un outil de plus dans le contrôle du pouvoir et de l’argent public.
Au sommet de l’Etat, le bénéficiaire d'une mandature peut absolument tout se permettre, complaisance de l’appareil judiciaire, couverture sine die des actes les plus répréhensibles, y compris les tentatives d’assassinat.
Les entraves à la justice sont devenues la norme, l’obstruction systématique, le déni de justice, pratiques dignes de la plus déliquescente des républiques bananières.