L’école est le premier lieu où les dérives sociétales se manifestent à l’égard du ou des jeunes qui n’entrent pas dans les normes, qui ne parviennent pas à affirmer leur personnalité, qui font preuve d’originalité ou échappent aux codes établis.
Les activités extra scolaires sont aussi un terrain où l’agressivité des uns trouve un exutoire dans la violence physique, morale, voire sexuelle envers une victime désignée n’entrant pas dans les conventions d’un groupe.
Les lieux de travail, bureaux notamment, nichent parfois les roitelets du pouvoir, n’hésitant pas à exercer une tyrannie déguisée sur un salarié, souvent pour des motifs extra professionnels, tout simplement parce qu’il a le malheur de déplaire : vexations, ostracisme, exigences abusives sont le lot de ces parias.
Les personnages changent, les décors varient mais le principe demeure, celui utilisé jadis par les communautés religieuses qui ont parfois connu ces dérives, inavouables en monde profane, et dont le roman de Diderot « La Religieuse » en témoigne.
Il n’est pas donc ni étonnant ni exceptionnel de les retrouver dans des cénacles contemporains, dans le huit clos des initiés qui, au nom d’un code règlementaire et de traditions cumulées au fil des siècles, se livrent aux mêmes pratiques pensant sans doute pouvoir nuire, humilier, détourner, affaiblir jusque tuer.
Créer un mur de silence et de rejet, dresser des barricades d’hypocrisie affublées d’un amour venimeux, jouer la comédie des principes et des règles, déborder enfin dans la vie civile pour mettre en place un harcèlement nocturne, les bons conseils de médecins dévoyés, pour faire de la nuit un cauchemar quotidien.
L’âme courtisane et les ambitions aussi petites que mesquines des roitelets politiques communaux font le reste. Un chapelet de petites mains, au service et au bon plaisir des puissants locaux, prêts à toutes les sales besognes pour plaire, pour gagner une petite place quelque part, une misérable faveur des gens en vue.
Le réseau de malfaisance se met en place et, issues du lieu clos, les nuisances se répandent dans la vie quotidienne via les multiples micro-entreprises qui desservent les villages et petites villes. Casser, détourner, endommager, arnaquer, menacer, salir, voler,éveiller à toute heure de la nuit, tailler et détruire les plantations, la liste est longue, interminable dans un but … Lequel au juste ? Vengeance ? De quoi et pourquoi ? Nuisance pour faire place aux promoteurs qui vendent les chambres d’EPHAD sur le secteur à 6 000€ mensuels ?
Le cercle des nuisances s’élargit sur l’Europe via les frères et sœurs de la communauté. La « fraternité » n’a pas de frontières, elle a une vocation internationale.
Faut il avoir perdu la raison, être enfermé dans un paroxysme de démence, être atteint d’une folie insatiable d’argent et de pouvoir pour que des groupes qui se veulent « spirituels » sombrent dans un tel abime de délinquance et de criminalité.
Jadis nous parlions de prêtres défroqués, aujourd’hui nous pouvons parler de mafia maçonnique.