Dans la conviction que tout leur est permis, que nous sommes toujours en monarchie avec ses privilèges, us et coutumes, et que rien ni personne ne peut s’opposer ou contester ou les priver de ce que la chasse à courre considère comme son dû, les tenants de cette pratique surannée n’hésitent pas à bafouer toutes les lois de la République sachant que personne n’osera s’opposer à leurs chasses.
Associés à la droite dite « traditionnelle » installée au pouvoir depuis de décennies dans l’Oise grâce à un réseau d’obligés et de mouchards qui ferait pâlir d’envie un service d’espionnage, autour des stars de Chantilly, soutenus dans leurs pratiques occultes par des franc maçons de haut grade dévoyés et corrompus, notamment les loges Sincérité fraternelle et R. et Ch. De Villette, piliers du Président Xavier Bertrand, parjures des fondements mêmes de leur ordre, ils se livrent de concert aux pires exactions sur les animaux autant que sur les hommes et bénéficient du champ libre laissé par la « justice » pour tous les degrés de la délinquance.
Les couvrir et les exempter de tout respect de la loi : c’est le prix du pouvoir pour parvenir au sommet et s’y maintenir, payé par Nicolas SARKOZY qui continue avec ferveur à tuer selon les bons et vieux rituels, effacer toutes traces, faire disparaître les victimes, et signer des livres sur les « exploits de guerre » et la basse politique d’une efficacité redoutable.
Pris à la gorge au cas où un malheureux tribunal viendrait à jouer les trouble-fêtes le 19 décembre 2024, il se déchaine pour tuer la dernière de ses victimes - JM - craignant vraisemblablement les aveux de celles et ceux qui ont été ses complices, redoutant sans doute la lâcheté qui caractérise en toutes circonstances les Français. Complices de facto le temps de blesser, de s’acharner, de négliger, … le souffre-douleur désigné à sa vindicte.
Un système qui illustre, mieux qu’aucun autre exemple, le fondement du pouvoir politique en France et l’indescriptible corruption morale qui préside aux destinées du pays jusqu’au plus bas échelon.
Nicolas SARKOZY ou le chemin de la criminalité installée au pouvoir1997 - 2024
L’obsession du meurtre ou comment effacer les traces d’une tentative d’assassinat et les blessures graves infligées aux chevaux jusque provoquer leur mort
Couvrir les crimes de veneurs, équipage Les Trois Forets, Oise
Dans la conviction que tout leur est permis, que nous sommes toujours en monarchie avec ses privilèges, us et coutumes, et que rien ni personne ne peut s’opposer ou contester ou les priver de ce que la chasse à courre considère comme leur dû, les tenants de cette pratique surannée n’hésitent pas à bafouer toutes les lois de la République sachant que personne n’osera s’opposer à leurs chasses.
Associés à la droite dite « traditionnelle » installée depuis de décennies au pouvoir dans l’Oise grâce à un réseau d’obligés et de mouchards qui feraient pâlir d’envie un service d’espionnage autour des stars de Chantillyac, soutenus dans leurs pratiques occultes par des franc maçons de haut grade dévoyés et corrompus, notamment les loges Sincérité fraternelle et R. et Ch. De Villette, piliers du Président Xavier Bertrand, parjures des fondements mêmes de leur ordre, ils se livrent de concert aux pires exactions sur les animaux autant que sur les hommes et bénéficient du champ libre laissé par la « justice » pour tous les degrés de la délinquance.
C’est le prix du pouvoir pour parvenir au sommet et s’y maintenir, payé par Nicolas SARKOZY qui continue avec ferveur à tuer selon les bons et vieux rituels, effacer toutes traces, faire disparaître les victimes, et signer des livres sur les « exploits de guerre » et la basse politique d’une efficacité redoutable.
Pris à la gorge au cas où un malheureux tribunal viendrait à jouer les trouble-fêtes le 19 décembre 2024, il se déchaine pour tuer la dernière de ses victimes - JM - craignant vraisemblablement les aveux de celles et ceux qui ont été ses complices, redoutant sans doute la lâcheté qui caractérise en toutes circonstances les Français. Complices de facto le temps de blesser, de s’acharner, de négliger, … le souffre-douleur désigné à sa vindicte.
Un système qui illustre, mieux qu’aucun autre exemple, le fondement du pouvoir politique en France et l’indescriptible corruption physique et morale qui préside aux destinées du pays jusqu’au plus bas échelon.