En paradant sur un véhicule militaire, signe subliminal du changement de la règle du jeu politique, le nouveau locataire de l’Elysée a fait le choix des tactiques militaires pour faire exploser le carcan des partis politiques traditionnels, ratisser large pour mieux régner et atomiser les vieilles carcasses déliquescentes d’une droite-gauche vermoulue.
L’idée n’est pas neuve, elle n’est pas mauvaise non plus. Solidement installée depuis des décennies dans le paysage politique, la droite Les Républicains a fait de la confiscation du pouvoir, de la délinquance, de la criminalité au col blanc ou pas, la méthode de gouvernement.
Alliée à la chasse, à la vènerie, à toutes les vieilleries bien établies depuis des siècles et tenant solidement par le manche les représentants de la justice, la droite Les Républicains s’est livrée sans honte ni scrupules à toutes les turpitudes d’usage qui la hisse aujourd’hui au rang de mafia locale, régionale.
Avec un Parquet à sa botte grâce aux entraves répétées de la justice, une Cour d’Appel prête à couvrir tous les classements sans suite et les non lieux, Les Républicains en tandem avec la mafia chasse ont définitivement assis leur pouvoir en Hauts de France au point que nulle procédure en justice n’aboutit. Ni le mensonge, ni l’ancienne forfaiture, ne font reculer procureurs et juges. Coutumiers des transgressions à toute déontologie professionnelle, les fonctionnaires de justice sont devenus l’arme qui fait reculer toutes les plaintes, qui fait classer les dossiers sans suite, qui couvre délits et crime des castes choyées par Xavier BERTRAND, protégées par Olivier DASSAULT.
Inutile de crier la vérité. A tout entêtement La Procureure mobilise le clan WOERTH. Elle fait déclarer fou ou débile le quidam qui manifeste de l’obstination, qui refuse de baisser les bras pour dire la vérité haut et fort.
La mafia Les Républicains-Chasse-Vènerie fonctionne toujours de la même façon.
Tout est bon pour faire de l’argent, bien entendu « propre » via une prévision démographique en fausse croissance, donc du foncier à bâtir, l’arnaque tout court comme la méthode utilisée jadis pour garnir les caisses de l’Institut de France ( ?) ou encore le racket sur l’évènementiel employée pour extorquer des fonds « supplémentaires » lors des manifestations sportives.
Son mode opératoire pour « contrôler » les récalcitrants est bien connu : multiplier les petits délits à l’infini, harceler sans cesse, pendant des années le contestataire, au moyen des écoutes téléphoniques, pénétration internet, dommages matériels en tous genres sur les biens, dégradations matérielles ininterrompues, blessures sur les animaux domestiques ou apprivoisés. Faits et gestes pour lesquels la Gendarmerie ne trouvera jamais ni explication, ni auteur. En fin de parcours, Mme Florence WOERTH MEYER s’empresse de faire de faux diagnostiques pour classer « irresponsable » le plaignant entêté.
Dynamiter la droite est sans doute l’objectif présidentiel. Alors pouvons nous encore imaginer un seul instant mettre à nu l’invraisemblable corruption qui se niche sous les dentelles princières, sous les oripeaux royaux, au sein la mafia FDC-Les Républicains-Vènerie ?
En somme pouvons-nous enfin nettoyer les écuries de Chantilly ?