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Billet de blog 19 février 2025

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Justice française / comment détruire la preuve du crime

La Juge Thérèse LEPRETE, acteur efficace de la corruption dans l’Oise

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Le stratagème a bien fonctionné : une invitation collective par un bel après midi ensoleillé. Un groupe joyeux et bavard dans le jardin.

La Juge affiche une fatigue et demande un coin tranquille pour se reposer. Qu’à cela ne tienne, l’étage offre le confort nécessaire à une sieste réparatrice.

Bien longtemps après, à la faveur d’un procès annoncé pour blessures infligées à un cheval par défaillances caractérisées de l’hébergeur, voici que, dans le but d’étayer la thèse de la partie plaignante, un plomb tiré dans le genou du cheval Valoroso est recherché, celui-ci ayant été soigneusement classé et rangé après l’opération d’extraction à l’Ecole Vétérinaire de Maisons Alfort.

Ce plomb est la preuve de l’infiltration de la mafia vènerie et chasse, - lisez, équipage des Trois Forêts et FDC 60, sa main d’œuvre -, dans tous les rouages de la région et de leur succession d’actes de délinquance et tentatives de meurtre perpétrés par la dite équipe.

Quelle est donc la mission de la Juge LEPRETRE ?

Imaginer un subterfuge pour avoir le temps de fouiller et rechercher cette pièce à conviction pendant que l’aimable compagnie se détend, loin de tout regard indiscret.

Autrement dit, Dame Thérèse sous motif de se reposer après une journée de travail, a eu le temps de fouiller dans toutes les affaires à la recherche du dit plomb, dont l’image a circulé sur FB.

Divine surprise ! à la faveur d’un prochain procès, cette pièce à conviction, portant l’ADN du cheval tiré, est le dernier témoignage de la criminalité de la chasse, parfaitement organisée sous la houlette de sieur Xavier BERTRAND. A la place, un faux morceau minuscule d’une matière à déterminer, dans une boite en plastique, loin des outils vétérinaires habituels.

Fait aussi singulier que fâcheux car elle aussi est dans la mouvance des franc maçons locaux qui « couvrent » avec zèle et diligence les méfaits des frères et sœurs (sic), tout comme les Juges DEVEILLE et HOUYVET : ne jamais rien trouver, tout classer, ou prétendre que les auteurs « n’ont pas été retrouvés ».

Quel degré de mensonge, turpitude et corruption la France a-t-elle atteint pour qu’une Juge comme ses prédécesseurs d'ailleurs, n’hésite pas à détruire la preuve du crime ?

Qui ose encore sanctionner un tel dévoiement de l'appareil judiciaire  et de son personnel ? 

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