L’art et la manière d’étouffer les affaires judiciaires impliquant les équipages de vènerie, leur main d’œuvre - les fédérations de chasse, les maires et conseillers municipaux en fin de chaine.
Rien de nouveau sous le soleil pour ceux et celles qui détiennent les rennes de la gouvernance régionale. Solidement épaulés par un Parquet soumis à leurs ordres, toutes les infractions et délits leurs sont permis.
La gamme est étendue, depuis le harcèlement qui prend la forme d’une multiplication de délits mineurs – dommages à répétition des biens, des plantations, écoutes de tous les moyens de communication, sonnette à toute heure de la nuit …. Jusqu’aux blessures infligées aux animaux, et tentatives d’assassinat.
Pas d’enquête, pas de suites, classement.
Le Procureur se charge de faire disparaitre la kyrielle d’actes délictueux commis par le réseau de « solidarité », veneurs – chasseurs – franc maçons locaux.
C’est à ce moment là que la famille WOERTH intervient pour mettre un terme à toute velléité de justice via le Dr. Florence WOERTH-MEYER qui appelle téléphoniquement le plaignant, « à la demande du Procureur » pour effectuer une expertise psychiatrique à domicile, maquillée dans les courriels en expertise « médicale ».
Un questionnement harassant sur la santé, sur les maladies passées et présentes, la consommation des médicaments, les handicaps éventuels ou degrés d’autonomie, pour conclure avec un rendez-vous au domicile afin d’effectuer un examen complet (sic).
Etonnant tout de même comme procédure, surtout lorsqu’on sait que certains des administrés à Chantilly font des séjours à Clermont (haut lieu d’accueil pour les maladies psychiatriques lourdes) et bénéficient d’une camisole chimique dont le plus grand mérite est d’en faire un zombie.
Comment réduire à silence ceux et celles qui réclament une réponse, une action vis-à-vis des auteurs des délits ? La recette est d’une simplicité enfantine, couramment utilisée dans les pays dits de « dictature » dont la Russie, à savoir, déclarer dément ou similaire le plaignant.
Pourtant nous sommes bel et bien en France, au XXIème siècle, affichant urbi et orbi une devise républicaine devenue un écran de fumée devant la turpitude dans laquelle les institutions et les corps de l’Etat ont sombré.