Du papier glacé pour afficher les faits et gestes des conseillers qui ne se donnent même pas la peine de faire le moindre geste pour entretenir, nettoyer, améliorer l’état pitoyable des trottoirs, des chaussées, des jardins donnant sur la voie publique dans une absence totale de la moindre taille, d’un minimum de propreté.
La Place de l’Orme brille pour l’absence de tout soin depuis 40 ans, chaussée et trottoirs qui se effritent, déchets à la traine, jamais un coup de balai. La mousse s’affiche partout, les herbes jadis dites mauvaises s’épanouissent, mais les lampadaires restent allumés toute la nuit, sans doute dans un excès de zèle pour éclairer les malfaisants qui sonnent à votre porte à n’importe quel moment, entre 23 hs et 6.00 hs du matin.
Très forts dans la petite délinquance, la violation de domicile, la mutilation d’arbres, les dégâts nombreux dans le jardin et dans la maison, le bris des objets, les vols à l’intérieur, l’effraction des portes, la casse des vitres, certains élus au conseil municipal excellent, au fil des années, dans les nuisances, dans les agressions à répétition, et dans le harcèlement nocturne, jamais remédiés car déclarés sans suite par les procureurs.
Main dans la main avec et au service de la racaille chasse et vènerie qui peuple depuis longtemps ce qui reste d’un village qui se voulait accueillant.
Derrière la façade, derrière la petite littérature pour le voisinage qui a changé au cours des dernières décennies, les « ruraux » se livrent en toute impunité à des actes de malveillance répétés, puisque recyclés la plupart d’entre eux dans l’immobilier. Ils se veulent « respectables », ils « investissent », ils urbanisent.
Plus de jardins, plus de bâtiments en pierre, plus d’histoire, plus de souvenirs, un carré plus ou moins à l’abandon, devant la vieille église qui, elle, est « classée ». La vieille école n’est plus qu’un souvenir, la salle qui accueillait les habitants va disparaitre, elle aussi. Les vieilles pierres des maisons attenantes sont démontées une à une, voyons ! la mairie construit.
Du béton chèrement vendu, une littérature alléchante alors qu’il n’y a pas un seul point d’alimentation à proximité, une circulation qui s’ajoute au nom d’une « densification » qui réduit le village au rang de cité dortoir.
Sur les feuilles abondamment illustrées du Bulletin Municipal, un chant ininterrompu à la gloire des élus, ravis d’afficher les bonnes œuvres, les gestes qui se voudraient généreux, les associations subventionnées quasiment vides de membres, un repas aux anciens et en bout de course un promoteur bâtisseur pour « veiller » sur l’église…
La délinquance a encore de beaux jours à Courteuil – Saint Nicolas d’Acy.
1995 2022
N° de Parquet 960058/1
N° d’Instruction 01/97/69
- Procès-verbal N° 1162/1999
- Procès-verbal N° 5028/1999
- Procès-verbal N° 593/2000
- Procès-verbal N° 819/2000
- Procès-verbal N° 1533/2000
- Procès-verbal N° 1822/2000
- Plainte du 17/07/02 auprès du Service ABUSE@wanadoo.fr
- Plainte du 12/08/02 auprès du Service ABUSE
- Plainte du 09/06/03 auprès du Service ABUSE
- Procès-verbal N° 3441/2002
- Procès-verbal N° 4130/2002
- Procès-verbal N° 2443/2002 suite à la plainte N ° 5450/01
- Procès-verbal N° 1861/2003
- Plainte du 21/11/03 auprès du Service ABUSE pour mails infestés répétitifs.
- Procès-verbal N° 1119/05
- Procès-verbal N ° 3595/06
- Affaire N° 01 2019/00790 Cour d’appel d’Amiens
- Cour de Cassation rapport N2083351
1995 – 2022
Parquets, TGI, Cour d’appel d’Amiens, Cour de Cassation