Jadis ceux-là s’appelaient « princes », aujourd’hui « président », en somme le plus brutal, le plus violent, le plus perfide, le plus salaud, parfois … le plus intelligent.
Adepte des pratiques conventionnellement appelées « occultes », Nicolas surpasse les niaiseries et méchancetés gratuites des Franc maçons qui ont déraillé.
S’affichant au-dessus de la férocité des veneurs et chasseurs, il est au sommet de la cruauté pour … Un trône ? Un fauteuil conquis de haute lutte ? L’argent et les honneurs qui l’accompagnent ? Ou tout simplement l’ivresse du pouvoir ?
Partageant avec eux les outils de la mort, il s’est hissé au sommet d’un pays qui a perdu l’honneur, la gloire, la mirifique substance qui le faisait rayonner. En piétinant les autres sous de prétextes futiles, en saignant son peuple pour quelques lauriers de plus, en organisant de carnages réguliers ailleurs, formule imparable pour le contrôle de la démographie.
En envoyant ses guerriers dans un Moyen Orient au nom de – Grands Dieux ! – la démocratie. Superbe mensonge à l’usage des multitudes qui applaudissent sans même se poser la question – qui ? quoi ? pourquoi ? alors qu’il s’agit d’exterminer celui-là même qui lui a permis d’accéder au pouvoir.
Ses sbires ont tué Guignol du Moulin
Ses "petites mains" ont tué le chien Egor
Ses veneurs ont tué Valoroso
Sa petite racaille à volé le chat Cristal
Ses chasseurs ont tué Causette
Franc maçons, veneurs, chasseurs, élus locaux, ils tuent maintenant ………
Pour quelques lopins de terre, convoités par la confrérie des veneurs qui pose toujours en caste au-dessus du commun de mortels
Reste-t-il quelque chose d’humain dans les cœurs de ces êtres sans foi ni loi ? Rien n’est ni sera jamais assez. Tout leur est permis, jusque la corruption totale de pans entiers de la république avec des Juges mutés en serpillère des puissants ; un pays dont le nom ne s’écrit plus qu’en minuscule.