Un naufrage arrive, il faut faire couler les premiers inutiles.
Des canots finissent par chavirer, renversés par la houle.
On imagine aisément la colère d'un océan, déchaîné, et ainsi ce sentiment d'un profond dégoût et regret.
Le sentiment d'impuissance, face à une quelconque défaite, est un engrenage sans fin.
Quand Guignol continue à manœuvrer son art de l'inadéquation collective, entre des suppositions dialectiques et un présent impossible à créer, c'est bien d'une bonne tarte dont on peut rêver.
Il ne restait donc que le rêve, et tel un château de cartes volant sous une rafale, le rêve disparaît dans une cascade invisible.