On ne peut avoir conscience de l'existence d'un "problème", si ce n'est en ayant été un acteur ou à défaut une victime collatérale.
L'exposition fortuite et involontaire au dit problème est suspectée et se nomme "complicité", ceci dû à l'épidémie d'affaires.
Quand on se permet de supprimer des articles ou de simples communications contenant des informations factuelles, au nom de quel principe ? Je vous le demande !
Pensez vous avoir pu cautionner la parole politique de tel personnage de pouvoir ?
Les non aveux ne sont pas des preuves.
La justice ne résiste pas à l'épreuve du temps.
Cinquante ans de retard, un demi siècle, donc le siècle est béni.