La Fête de la Musique, comme c'est joliment dit.
Le mois de juin se termine dans des tornades déversant des torrents destructeurs et sous les canons de plomb et de lacrymo.
Quel terrible bilan.
La destruction de l'expression du vouloir "être libre" est une donnée qui prend le dessus.
Les lois deviennent des epiphenomenes aléatoires, au gré du hasard, et encombrant la liberté de la répression.
Le basculement se généralise.
La beaufitude, qui était accusée d'être le chancre de la société liberticide, déconstruite par la légalisation des mœurs et de la procréation, devient donc un genre de sadisme légal orchestré mis en place, au nom toujours de la liberté.
Ce n'est qu'un ressenti, je ne suis pas une scientifique, je n'ai rien étudié, et je souhaite ne pas devenir un rat de laboratoire, après avoir dû être un peu moins opprimée.