Il fallait oser, passer le cap de deux pas à trois, comme l'oisillon qui sort de sa coquille, ébloui par le jour, par la beauté de la vie, et pressé de tout voir et de tout faire.
Le masque de fer, le masque en bec d'oiseau, le masque de papier, tout se passe derrière un masque, et avec l'écran en rempart ultime.
Il ne crèvera pas l'écran. Passage de 2 à 3, sans explication ou commentaire. Un piaillement au loin en guise de réponse à un autre piaillement.
N'êtes vous pas hypnotisé et fatigué, moi si.