J'ai travaillé à l'hôpital, en France, en hospitalisation, service de Médecine. J'y ai entendu des commentaires en 2018: la grippe tuait beaucoup de personnes âgées, il n'y avait pas assez de lits en Médecine pour les accueillir, ils et elles restaient en attente d'hospitalisation dans des lits provisoires nommés des brancards dans le service des Urgences.
En mars 2020, je suis revenue de congés le jour numéro 1 du confinement, tout était devenu inaccessible et inviolable.
A savoir:
- La ligne téléphonique où l'on m'appelait très souvent de "l'extérieur" a arrêté de sonner.
Il a été créé une "cellule de crise" qui a pris en charge tous les appels, et les entretiens qualifiés inhérents à "la crise".
Un cadre médecin et du personnel que je connais peu, ont formé cette équipe de crise.
- Dans mon service, il a été accroché des sacs poubelles scotchés ensemble, afin de faire des sas (de décontamination).
-pendant deux à trois semaines, il m'a été imposé de venir travailler, mais je n'ai strictement RIEN eu à faire. Tous les dossiers sont passés dans les bureaux des médecins et/ou infirmier(e)s, et les secrétaires habituelles n'ont pas pu les voir. Une cellule de soins palliatifs a été créé dans le service de Médecine.
Sachez qu'en jargon médical officieux, ça veut dire soins pré-euthanasie pour adoucir les souffrances, ce qui signifie que je ne pouvais pas ignorer ce qu'il se passait, mais nous n'avons eu aucune information.
Sauf, que j'ai lu les "protocoles" destinés aux soignants : médicament spécifique à l'endormissement pour toujours. Et je ne m'y habitue pas.
Ensuite, nous avons, après deux semaines environ, récupéré des dossiers, et avons trouvé une feuille A4 signé d'une écriture tremblante, c'était un consentement au "cas où je perdrais mes facultés mentales, j'autorise une fin de vie provoquée", donc une autorisation d'euthanasie.
Cela a été fait à cause de la "crise Covidienne", car jamais fait avant.
Je me souviens maintenant de mon mal être, devinant tous ces vieillards décharnés quitter l'hôpital, allongés sur un brancard et vêtus d'une feuille d'aluminium dite couverture de survie, en plein hiver, non, définitivement non. La blouse blanche que je portais est devenue la blouse de l'infamie.
Je savais que le Doliprane faisant baisser la température, et toxique pour le foie, ne sert strictement à rien.
Je savais que les directives sanitaires étaient du flan. Quitte à ne pouvoir hospitaliser tout le flot de patients, il aurait pu être donné des médicaments à domicile : antibiotiques telle l'azythromycine, des corticoïdes comme le Solupred, de l'ail, des oignons rouges qui sont excellents pour la sphère pulmonaire. Mais non, il fallait rester planté derrière sa télé et attendre les missives du nouveau croque-mort
C'est vrai que cette maladie, je l'ai eue très certainement, comme tout le personnel, et je m'en suis sortie difficilement, non sans pencher maintenant pour une corrélation entre les majorations des phénomènes inflammatoires avec, bizarre coïncidence non fortuite et à étudier, avec donc un environnement plus ou moins chargé en ondes de fréquence téléphonique en l'occurrence. Mais, que ne sait on des ondes telles celles générées par les compteurs linky, les bornes Wi-Fi (tous les hôpitaux en positionnent partout dans les services), et les ondes dont on ne sait rien ?
Et, la thèse du virus fabriqué, méchant complot venu de nulle part, revient en scène, mais on ne l'a toujours pas vu, cette m...e.
Des savants ont avancé des hypothèses, avant l'heure, que la 1ere branche d'information ADN collée sur cette chose, est sensible aux anti palludeens, et que c'est pour ça que l'Hydroxychloroquine fonctionne.
Pourquoi ne pas avoir accepté le résultat des études faites même en Chine, c'était découvert, et si des médecins français l'ont repris, pourquoi avoir interdit ce traitement ?
Essayez de visualiser les camions frigorifiques stationnés devant l'hôpital américain, à quoi ont ils servi ?
Je rajoute encore qu'un médecin m'a éclaté à la figure de rire, quand je lui ai soutenu que je ne voulais pas toucher les dossiers, car je ressentais qu'ils étaient porteurs de quelque chose de contagieux en quelque sorte. En fait, ils étaient vraiment contaminés, car certains praticiens ne prenaient aucune précaution, non par négligence.
Ils n'avaient que peu de moyen. Un seul masque pour moi, toujours le même, qui m'a été un peu toxique je pense.
Jusqu'au jour où j'ai été cloîtrée dans mon bureau, jour 1er du confinement. Plus besoin de masque...
POUR FINIR,
Je suis très dégoûtée de cette expérience, que je ne souhaite à personne.
Des personnes ont payé très cher de vouloir être un vrai médecin, et de devoir se taire, eh oui, pourquoi devoir se taire ?
Il faut que le chantage soit à la hauteur.
Des médecins sont morts à cause de ce virus, ils n'avaient pas les bonnes informations.
Quand les élections ont été acceptées par notre gouvernement, de gauche-droite en même temps, et bien, on a accepté de sacrifier quelques personnels, puisque ce n'était pas terminé.
Tout est faux dans cette histoire.
Si on le comprend, on ne peut pas intégrer la nécessité du PASS, de la "vaccination" experimentale
Plus ou moins consciemment vécue comme un ultime don à la science, en remerciement, pour ne pas avoir à l'assassiner, elle, cette maudite science.