Le monde est divisé, cloisonné et l'on ne peut pas comprendre une autre "réalité" que celle qui nous entoure.
Il nous faut un temps infini pour analyser totalement une histoire traumatique qui provoque la sidération inconsciente.
Partant de ce constat, il devient plus évident de constater que le double voire le triple discours est une institution qui ne dit pas son nom.
Jouant habilement sur notre coupable ignorance,
-j'écris "coupable" car la culpabilité est la clef de voûte, au sujet de l'industrialisation des recherches scientifiques sur l'énergie, la communication, le monde de l'invisible du quantique,-
le discours "officiel" nous fait perpétuellement avancer vers un précipice, tel un âne quoique c'est un animal très intelligent.
Je m'abstiens de communiquer des informations, car celui qui souhaite en avoir sera invité à les rechercher.
A la télévision, les fictions nous ramènent toujours, enfin très souvent, même "plus belle la vie", vers le monde judiciaire. Le fantasme de mettre en prison le délinquant ou le meurtrier, capte l'attention et le parallèle est vite fait avec la mise à mort dans le cadre de la "guerre" d'un "virus" qui "mute" (tout seul ?).
On a un monde virtuel qui nous tue l'imagination.
Normalement, selon moi, on aurait dû savoir grâce à nos journalistes, depuis qu'on le sait, que "l'épidémie" a débuté en octobre 2019.
Ensuite il y a le traitement.
Traitement réservé au monde de la santé, restructuré en une association pyramidale d'où le sommet émet des assertions et des ordres très incohérents.
Traitement réservé au petit peuple, qui finit par se soumettre, malgré des énormes doutes et malgré lui, mais par conformisme et surtout pour échapper à l'extrême droite, ce fléau tentaculaire tellement criminel et menteur...
Nous sommes tous en capacité de réfléchir au sens de la vie, mais pouvons nous réussir l'union ? , sachant que l'interconnexion n'est pas une science, en tous les cas, pas encore.