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Cette baderne de caudillo de sous-préfecture, pourtant promotrice d'une république enfin affranchie de la chefferie jupitérienne, et qui dispense ses instructions à des godillots en bras de chemise quand même elle n'est élue à rien, est plus que pathétique, davantage que sinistre : elle est la caricature symétrique des caricatures illibérales méphitiques du populisme d'en face.
Je conteste que cet homme-là soit de gauche, je le conteste depuis toujours, au demeurant : la gauche est démocratique, elle est républicaine, elle ne se paie pas des borborygmes caporalistes d'un contempteur objectif des principes constitutifs communs.
Tyrans et tyranneaux ont coutume d'être "sociaux" : tous le furent, tous le sont, depuis une incorporation personnelle de la vérité.
La gauche induit le juste d'une confrontation des corps, elle ne le déduit pas d'un corps, fût-il vociférant, dût-il vociférer.