Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
J'en suis resté bouche bée ce qui n'est jamais très commode au moment d'avaler une gorgée de café. La matinale de France inter avait invité ce dimanche-là deux intervenantes sur la question de la place des femmes dans la recherche scientifique. Grosso modo sur l'absence de communication sur leurs apports et sur le manque de propositions d'emploi aux diplômées. Pour illustrer ce propos, la radio présente une statistique sur la reconnaissance faciale. Plus efficace pour les hommes blancs que les femmes, particulièrement quand elles sont noires ce fait s'explique par la surreprésentation d'images d'hommes à la peau claire dans leurs bases de données expliquant l’aspect discriminant de ces logiciels. Pour ma part, j'entends un discours sous-jacent pas démenti pendant l'émission, remédier à ce dysfonctionnement en augmentant la représentation des publics absents ou moins présents alors que l'urgence est de se battre contre l'utilisation des logiciels liberticides de reconnaissance faciale, particulièrement au moment où la représentation politique génrée risque de remporter un succès avec une femme d'extrême droite pourrait accéder à la direction du pays.
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