Histoire, presque, vraie.
J'avais accès au portail de mon fournisseur, mais le bouton "Mails" (pas Courriel, Mails...) ne répondait pas. J'ai fini par téléphoner chez Orange.
Un robot, dernier cri de "l'intelligence artificielle!"qui, je confirme mon avis, n'est pas l'inverse de la connerie naturelle, mais sa conséquence, m'a répondu d'une voix neutre. Comme une banque Suisse qui cache l'essentiel.
Pauvre robot artificiellement intelligent. Il ne me comprenait pas. Et pour cause, mon problème ne figurait pas dans l'énumération, de ce qu'il est autorisé de réclamer. Comme un gouvernement, écolo artificiel, "en marche" vers le glyphosate ; les nitrales... rabâche ce qu'il veut, le robot Orange privilégie ce qui concerne des abonnements, des tarifs. Que ce qui rapporte du fric. Que de l’inhumain. Tant pis pour les pauvres bit'...s en attente, de ceux qui pourtant payent pour avoir accès à tout ce qui est prévu. Comme nous sommes loin de la poste... Dont les pneumatiques n'étaient jamais en panne et rapides comme l'air compressé , et le 22 à Asnières accessible au bout d'une1/2 heure, seulement.
Mais chez Orange (dont le patron a participé, apparemment malhonnêtement, à gaver indument Tapie) c'est chacun son tour. Pour les bits de cochons de payants privés d'accès, c'est parfois nib. Que dalle et variétés... Il faut qu'Orange, fournisseur d'accès, ait assez de jus, dispose d'assez de personnel qu'il réduit, et jamais de temps qui ne rapporte rien, pour qu'il exécute ce qu'il daigne assumer ce qu'il doit. Et ce sera toujours quand la S.A orange, une patronnesse, le décide. Dans 1,2,3... 5, 10... jours ? Cette fois c'était 4, peut-être! A la porte d'orange, sur le tas, sauf pour payer il faut attendre son tour. Comme dans la chanson de Brel : " Au suivant..."
Mes pauvres bit"s devaient attendre leur tour. Cela serait à pisser de rire, si ce n'était pas le symbole de tout en ce monde numérisé promis aux pantins et marionnettes.
En monarco-macronnie plus que jamais. Il faut suivre. Il faut marcher, sans moufter, en bêlant comme les courtisans de monarques comédiens ou bellâtres d'antan. Temps regrettés et vantés, par les : Bern, Deutch, néos historiens de pacotilles, qui refont l'histoire selon leur attachement au dogme monarchiste. Toutes portions gardées, comme des pétainistes impénitents et revanchards, borgnes ou pas, refont, "révisionnent" l'occupation Nazie, et tentent de réhabiliter les "écrivains" collabos.
Sous Macron (c'est incroyable au pays de Descartes) il n'est pas question d'être critique, donc utile. Sous l'ex associé dans la banque Rothschild, qu'il fut, on ne pense pas on compte. On compte pour que les riches clients s'enrichissent toujours. On ne pense pas puisque le monarque pense pour nous. A défaut, on est des incapables, de "cons", des extrémistes. A l'occasion des soutiens de terroristes...
Bref! le robot parleur m'a répondu, en substance :
"Je ne vous comprends pas. Envoyez un mail pour préciser". Ce qui m'était impossible...
Les pseudos "sur doués" pour fliquer tout et vite, ne comprennent et n'admettent que ce que ceux qui les conçoivent ont voulu. Rien d'autre. Tant pis pour les emmerdements actuels et a venir de ceux qui l'écoutent.
Il n'est pas plus "intelligent" que la fleur également artificielle, le robot. Il imite. Il est un objet. Comme une chaise, un révolver, comme un ventilateur qui envoie de l'air ou un vibromasseur qui envoie en l'air (parait-il?).
L’artificiel c'est littéralement du faux, du factice. Larousse, pas la police la semeuse de vocabulaire, dit du pas essentiel comme les besoins artificiels; du qui n'est pas conforme à la réalité...
Pour simplifier l'artificiel c'est rien que du trompeur pour ignorants, et pour gogos. Ce qui les entraine à supporter ses conséquences et maux.
Il obéit vite sans réfléchir le robot. C'est tout. Il ne fait QUE CA. Il reproduit bêtement ce, qu'actuellement ceux baptisés au fric programment en vue d'un monde de flicage, de "caftages". Un monde dépourvu d’humanité. Ce qui l’inonde d'ordures (dans tous les sens du terme) et le mène irrémédiablement à sa perte.