Vouloir c'est pouvoir (ou qui veut peut) dit un proverbe. Macron, qui a tout de l'enfant gâté, et rien a envier aux plus méprisants des "puissants", ne supporte assurément pas la moindre contrariété. Même avec les dames, rappelons-nous, entres autres, ses remarques à des soignantes... Pour lui le pouvoir, c'est imposer son vouloir. Na!
Sa suffisance visible, comme innée, l'empêche probablement de se rappeler que l'un de ses prédécesseur en totalitarisme qu'il semble imiter, et qui ne supportait pourtant pas la concurrence en "majesté"(toujours aussi déguisée que dangereuse, et forcément fugace) ni la contradiction : Bonaparte (premier con-çul jeune et beau qui s'est cru invulnérable et a fini en "empereur" banni et maudit. Avec un gros bidon.) a tout petit aux pied des pyramides, donc face à une somme de réalités enracinées qui font que sont éternels des monuments, que même le temps respecte et n'ose pas toucher, eu un instant conscience de la prétention de personnes imbues tel que lui.
Macron, s'est cru aussitôt l'Emmanuel attendu, au point de se faire investir et filmer comme l'élu... le plus beau, devant une pyramide du clinquant digne de lui. Macron qui devant la pyramide de dévouement sans égal de soignants épuisés, au bord du suicide, comme les postiers, les cheminots, les virés, les exclus, se permet comme un galopin mal élevé, comme un chrétien à excommunier, de les mépriser, publiquement comme tous ceux qui le contrarient. Là ce fut les soignants méprisés, et avec eux des malades qui ne peuvent plus se soigner, qui souffrent plus longtemps qu'il convient, qui risquent de mourir et meurent, à cause de la mesquinerie macronienne télécommandée par l'oligarchie, financière, les actionnaires prédateurs, les spéculateurs sur la misère, les gavés a en dégueuler de superflu puant. les plus riches, Les vrais décideurs, les possédants.