Ce n'est pas en forêt de Compiègne mais à l’Élysée, que la chancelière est venue comme chef d'orchestre, probablement pour accorder, à coup sûr, le second des violons prosélytes de l’Europe libérale (*). Car, Hollande, c'est tout de même un cabri qui a bêlé à tous les coins de rue pour elle, et sur les plateaux et journaux avec toutes les droites et Sarkozy: Entre complices, au moins pour ça, on fait semblant de se condamner, mais, histoire de barbichettte, toujours on se relaxe).
Caricature de Vercingétorix, l'adversaire de la finance a lui, et aussitôt élu, déposé tout bouclier aux pieds de la dame et a signé, pas à deux mains (il n'est surtout pas gaucher) mais immédiatement, sans aucune information au peuple ni discussion et contre sa promesse électorale, le pacte, initié par Sarkozy de soumission aux oukases des suppôts de son pourtant adversaire : La finance. Autrement dit il a signé pour la guillotine automatique pour toute opposition économique au dogme libéral qui dorénavant sortirait des urnes. Ce qui conduit à ce que le seul souverain, en démocratie et selon la constitution, ne doit plus avoir de burnes. Ou admettre qu'il doit systématiquement se les mettre derrière l'oreille. Et c'est comme ça que la loi non écrite, sans visage ( Cela ne rappelle rien?), celle qui supplante toutes les autres dans cette UE, celle de la jungle financière, qui requiert impérativement l'acceptation sans moufter des seules décisions, de la seule offre de la coterie.
Elle lui a peut-être laissé penser qu'il peut en coûter à un vassal d'oublier qui est la dame de fer, lorsque par le SPD acoquiné à la CDU, il est également associé à elle en Allemagne depuis des lustres. Elle a pu lui rappeler qu'il est lié à cette Europe là par le président de droite que ses exécutants ont choisi. Ceci encore contre une autre promesse électorale. Ce qui est une manie. Un tic authentique, le plus pathétique des tics. Un toc de tocard.
En tous cas il a joué son rôle habituel. Il n'a pas fait obtenir à la Grèce plus que ce qui lui était refusé par son clan (c'est par les faits incontestable) les jours d'avant. Au contraire c'est pire.... Il l'a peut-être poussé, par quelques mielleux chantages d'énarques d'une même promotion (pauvre Voltaire!) à l'acceptation du dictat plus humiliant et plus dur que jamais pour le peuple Grec.
Pourtant des milliards lui sont dus à ce peuple, comme réparations de guerre, et par qui ? Par une Allemagne aujourd'hui suzeraine et hautaine, qui ne l'en cloue pas moins sur la croix de l'inflexible dame de fer (pas la croix, la dame).
Une punition drastique, quasiment éternelle est imposée. La casse sociale est absolue, la vente de tout au privé est impérative. Le travail, dans ce système où il n'y en pas, n'est pas partagé, il doit être pris à l'autre, et être accepté à n'importe quelles conditions, n'importe où, et n'importe lequel. Jusqu'à 67 ans! A partit de quel âge la retraite sera réduite à peau de chagrin, contrairement à l'Allemagne. Dame, quand, déjà pauvre de chez pauvre, on est contraint à payer toujours plus pour d'autres ailleurs, il est mathématiquement exclu que l'on puisse le faire pour soi, chrz soi.
Et la dette n'est ni réduite ni aménagée. Ainsi les petits enfants des enfants de ceux qui ont subit le pillage nazi sous l'occupation, devront s'assoir sur ce qui devait être remboursé à leur grands-parents par ceux qui ont, au moins laissé venir, et pour la plupart participé aux carnages. Et devinez...? Ce sont eux, les grecs pas nés alors, qui devront payer les retraites de beaucoup de vieux Allemands, y compris ceux rescapés, contemporains des conquêtes (très correctes, comme prétend Le pen) des troupes nazies, celles de leur pays alors. Et cette injustice cynique, devrait profiter, ad vitam, à tous les FIERS descendants de ceux qui n'auront pas payé ce qu'ils devaient, au détriment de ceux auxquels ils devaient. Les miracles décidément sont très injustes.
Et puis, c'est maladif, malgré une autre promesse électorale, l'UE économiquement dogmatique et tyrannique pour le pauvre monde, la preuve... Ne changera pas! nada jamais.puisqu'il ne DOIT y avoir d'alternative à l'enfer capitaliste...
Non cela ne changera pa, puisque ça marche, pour les bourreaux! C'est l'inconvenant, le malséant peuple désobéissant, l'éventuel maquisard contre un e évidente fausse oppression, qui doit partir. Cela n'est remis, qu'à plus tard, si l'esclavage venait à n'être pas irrémédiablement accepté : D'abord en Grèce, c'est le laboratoire, mais ensuite en Espagne, en Italie, et en France.
Qu'est-ce qu'il a donc fait, Hollande qui ne soit pas que ce que la chancelière et l'UE libérale qu'elle tient, voulaient ? Rien. On abouti à pire. On comprend que Woerth soit comptant de lui....
Question, confiance, de crédibilité, comme il dit, Hollande secrétaire du PS à fait passer Lisbonne à Versailles (cher à Thiers), malgré une autre promesse de référendum lors des législatives de 2007, à la suite du rejet net du TCE, dont la créature Versaillaise, éminemment oppressive et inhumaine, est le sosie. Il a été élu pour exactement le contraire de ce qu'il a fait.
(*) Un "privatisa-tueur..." Un soutien, pour 40 milliards.... ! Des entreprises "médéfiennes", adorées... Si l'on transpose c'est entretenir des danseuses vénales, qui ne lui accordent rien, en demandent toujours plus. Ce qui est énorme, c'est que ce sont les contribuables, honnêtes, qui doivent payer, pour se faire foutre. Les autres sont au Luxembourg ou à Bruxelles, es paradis fiscaux pour mafieux maitres chanteurs. Des places fortes de l'oligarchie anti démocrate, qui les protège, les met aux postes de commande du continent du fric.
40 milliards, d'une infâme et cynique transfusion financière, un tour de passe-passe, qui fait glisser des porte monnaie exsangues des petits vers les coffres d'obscènes obèses, en sous acquis en dormant, sur les malheurs des autres, donc accaparés. Et pourquoi?
Pour toujours plus de chômage, de délocalisations, moins de partage et de services publiques; plus de flicage : Sauf dans les affaires. Car sous peine de sanctions et amendes phénoménales, les vrais journalistes, les vrais syndicalistes, les courageux lanceurs d'alertes, des civiques quoi, devront s'abstenir d'enquête, ou ils seront lourdement condamnés comme coupables d'informer les peuples, seuls payants escroqués réduits, eux aussi, aussi silence béat des innocents, modelables."ignardisés".
Cela ça me rappelle une blague: 3 hommes parlent de seins. Le premier dit : " moi j'aime ceux en forme de pommes. Le second dit : "moi je les adore en forme de poire. Et le troisième termine en affirme : Et bien moi je les préfère bien longs et bien mous. Comme ça je leur donne la forme que je veux.
Et bien moi c'est pareil. Je n'aime pas le choix unique, sans alternative. Surtout quand elle est imposée par de vils et inhumains moyens.