Serait-il possible, dans des moments importants comme c'est le cas actuellement, que ces imbéciles de rédacteurs en chef corrompus par l'audimat oublient un peu le commerce de la page de pub et se concentrent sur la déontologie et l'impartialité avec laquelle le journaliste est sensé traiter et délivrer l'information ?!
Le 49.3 est un acte antidémocratique et le gouvernement profite de l'affolement causé par le coronavirus pour le déposer. Même un journaliste amateur aurait flairé le comportement opportuniste des élus et aurait pris l’information à contrepied dans le but d'une part de ne pas être instrumentalisé et d'autre part de ne pas contribuer à détourner l'attention d'une population mais à lui donner accès à l'information ...
Aujourd'hui au journal de 13 h de France 2 : 27 min de Coronavirus, 23 secondes sur les appels à manifester des syndicats, et j'ai changé de chaîne par dégoût, je mets BFM on tourne en boucle les mêmes correspondants qui répètent en boucle les mêmes infos dont certaines à prendre au conditionnel mais qui font peur quel que soit la forme grammaticale.
Bien sûr il est important de connaitre l'avancée du virus et les précautions à prendre mais pas h24 et comme des enfants, on a l'impression qu'on va tous succomber à l'Ebola gonflé aux hormones et pendant ce temps nos "élus parasites" vendent nos acquis sociaux aux fonds de pensions et titrisent nos richesses.
Vous, journalistes, avez un devoir de probité au regard de la population, votre responsabilité est de vous assurer que toutes les infos soient délivrées avec le même impact, et au vue de votre ligne éditoriale vous êtes soit corrompus soit complètement cons.
Nous avons passé des semaines à écouter presque quotidiennement les Balkany se victimiser, cela a conduit à faire pression dans le sens de sa libération, les politiques mis en examens défilent sur vos plateaux pour nous faire avaler des couleuvres et vous n'osez même pas les bousculer de peur de représailles, bravo la justice devrait vous inculper pour complicité de recel d'informations.
Votre médiocrité me terrifie
J’espère qu'un jour vous en paierez le prix, mais j'ai bien peur que l'on ait à régler la note ensemble.
Jean