Ce qui compte avant tout, c'est de battre l'adversaire politique et d'asseoir ainsi ses propres privilèges et ceux de ses partisans. L'article publié dans la Nouvelle République du Centre-Ouest le 30 novembre dernier, illustre parfaitement cette (im)posture partisane.
« Pour ou contre les 105 ? », un tel vote n'a strictement aucun intérêt pour le quotidien des citoyens. Et s'il en avait un, le problème pourrait être réglé radicalement, simplement et définitivement. Pour y parvenir, il faut tout d'abord une volonté politique non partisane (à savoir en dehors des partis non représentatifs) et surtout un souci de démocratie développé. Ce mot « démocratie », employé à toutes les sauces, est souvent dévoyé. Que l'on me permette de donner la définition du mot démocratie : le peuple décide et les élus exécutent !.
Fort de cette définition non partisane et étymologiquement exacte, je propose que la question d'une intercommunalité à 105 communes soit soumise au vote des citoyens avec la mise en place d'un référendum local !
Le peuple souverain mettrait ainsi fin à des querelles de « bacs à sable » de la part d'élus immatures, plus enclins à maintenir un système oligarchique qu'à faire émerger une réelle démocratie au service exclusif des citoyens.
On pourrait ainsi faire d'une pierre deux coups en réhabilitant la souveraineté du peuple qui a bel et bien été cocufié en 2008 par la traîtrise des (non)représentants du peuple suite au referendum de 2005 sur le Traité européen.
Désolé de ne pas développer davantage... c'est l'heure de la sieste!
😉
Et voici donc l'article qui m'a fait sortir de mon hibernation:
le lien beaucoup plus lisible: http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Politique/n/Contenus/Articles/2015/11/30/Pour-ou-contre-les-105-2548850
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