Est-on sûr d'avoir exploré toutes les pistes d'une écologie politique efficace? Il faudrait pour mieux faire s'aviser que l'internationale reste depuis l'internationale ouvrière la forme d'une force politique opérante. Il devrait en aller ainsi des partis écologiques: que dans tous les pays ils reprennent des thèmes et orientations semblables, ce que commence à faire Europe Ecologie, mais cette échelle parait modeste. Sinon on en est réduit à attendre que des instances internationales, de façon descendante, déterminante dirait Kant, nous disent ce que nous pouvons voir devons faire en la matière. Cancun a évité l'immoboilisme; cela peut-il suffire au regard des enjeux?
Dans chaque scrutin local, national, des forces écologiques doivent s'allier à ceux qui ont pris des engagements, et se retirer d'une coalition si ces engagements ne sont pas respectés! Il ne suffit pas de faire signer aux futurs gouvernants un contrat qui n'engage que ses promoteurs comme le fit nicolas Hulot, qui allait dans le bon sens en rappelent qu'il y a des impératifs politiques même quand il n'y a pas de mandat impératif; il faut oser la crise de régime comme sanction du non-respect, en quittant la coalition.
Forces internationales et alliances tactiques, quel autre avenir pour la révolution de l'écologie politique?