Ça y est, c'est fait. Nous sommes le 8 novembre 2025 veille du second tour des législatives anticipées, le NFP dans un ultime éclair de lucidité vient de provoquer un séisme. En effet alors que le RN vient d'écraser le parti présidentiel au 1er tour (7%), la gauche n'appelle pas à un front républicain après les déclarations du ministre de l'intérieur demandant aux candidats de l'ex majorité battus d'appeler à un front anti républicain pour faire barrage à la gauche.
Le soir venu les résultats sont sans appel,
Le RN remporte les élections avec 40 % des votants. La gauche avec 35% améliore son score de 2024 et 9 millions d'électeurs. Le taux d'abstention s'élève 40%.
15 millions d'électeurs ont porté leurs suffrages vers les candidats d'extrême droite.
Le 10 novembre 2025, le nouveau ministre de l'intérieur Julien Odoul, vient de publier un décret visant à limiter la diffusion des médias en ligne en nommant pour chacun d'eux un comité rédactionnel dont la direction est assurée par un représentant des GAFAM. Le capital des médias doit provenir à 30 % des dits GAFAM.
Bayrou et Marine Le Pen ont été désignés pour la création d'une commission d'enquête gouvernementale visant à demander la révocation des magistrats gauchistes.
Elon Musk est nommé ambassadeur des USA en France.
La gauche qui avait désigné Lucie Castets pour mener la campagne législative est sonnée. Sa leader bien qu'élue largement s'est vue interdite de siéger à l'assemblée nationale en raison de ses propos séditieux que l'intéressée nie en bloc. La haute cour de justice est saisie pour haute trahison.
Macron a démissionné face aux menaces insurrectionnelles . La présidentielle est prévue en janvier 2026.
Seuls les candidats adoubés par le premier ministre Retailleau seront autorisés à se présenter...
Mélenchon, Faure, Tondelier et Corbière sont assignés à résidence.