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Billet de blog 18 septembre 2022

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Bobards d'État contre l'avant-garde du monde du travail

Banquiers Macron et capitalistes récidivent avec la figure de style de "la lettre bobard". En novembre 2019 ils s'adressaient aux personnels hospitaliers. Ce 16 septembre 2022 ils s'adressent aux personnels de l'Éducation nationale. Ils persistent et signent avec leur attirail préhistorique pour amuser la galerie et dézinguer les salariés.

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Capital sans bobards

Commençons par un incontournable constat connu de toutes et de tous. « Quand vous serrez la main à un banquier, recomptez bien vos doigts après ». Surtout quand ils moulinent du discours, bien coiffé, bien propres sur eux, avec de jolis mots de communiants pour vous faire passer des vessies pour des lanternes. Quelle est la limite à la prédation ? Notre résistance à la prédation. Un feu de joie s'impose alors avec leur foutue langue de bois. Kric-Krac ! Mistikri-Mistikrac ! Il faudrait plus. Les Antilles peuvent servir de modèle.

Les capitalistes ont le profit chevillé au corps. C'est un trait de caractère qu'ils cherchent à naturaliser de génération en génération. C'est leur horizon ontologique. Notre travail les intéresse. Ça fait grandir leur capital. Ce n'est pas par inhumanité qu'il nous volent. C'est par principe. En bref, « plus ils nous volent, plus ils nous prêtent, et plus on les rembourse ». Et voilà le tour est joué. Alors quand ils se retrouvent face à des salariés qui ne leurs rapportent rien, qui ne dépendent pas du marché de l'emploi, qui travaillent sans patrons et sans banquiers, alors là, comme pour tous les autres salariés à statut, ils dégainent la matraque « PAN DANS LA GUEULE », pour reprendre la formule du Franquin des Idées noires.

Le banquier Macron pérore avec la même tranquillité qu'un Adolphe Thiers. « Le Capital est nécessaire. La précarité est incontournable. La solidarité c'est notre refondation ». Ils nous tiennent en grande estime et considération. Mais tout va mal autour de nous et nous perdons le sens de nos valeurs. Mais le banquier Macron est là, comme une pauvre volaille, avec quelques malheureux millions sur les centaines de milliards qu'il nous a piqués. Thiers avait la formule heureuse en 1850. « Mais attention le travailleur précaire que nous rencontrons sur notre chemin, qui touche notre cœur, dont la vue nous arrache un sacrifice, n'a cependant pas le droit de nous forcer à le secourir. S'il voulait nous contraindre à venir à son secours, nous extorquer ce que nous sommes portés à lui donner, ce ne serait plus un être sacré, ce serait un malfaiteur. » Dans ce cas c'est « PAN DANS LA GUEULE ».

La lettre bobard

Comme on l'a annoncé, le banquier Macron et sa bande de scribouillards ont récidivé avec la figure de style de "la lettre bobard". En novembre 2019 ils s'adressaient aux personnels hospitaliers (1). Ce 16 septembre 2022 ils s'adressent aux personnels de l'Éducation nationale (2). Rien de nouveau dans leur attirail préhistorique pour amuser la galerie. Pour dézinguer les salariés. Il faut enrober le bonbon le mieux possible pour que la lutte de classes n'apparaisse pas. Ils connaissent bien la musique. Les Thiers du XIX°. Les Rocard-Juppé-Sarkosy-Hollande-Macron du XX° et XXI° siècle. Après le bonbon, de toute façon il faudra taper. Taper fort. Mais il faut d'abord un bonbon à la façon de Jacques Brel.

Bobards en soupe

Au chapitre « bobard de la gratitude et de la considération », le bougre joue du violon comme une vache espagnole. En 2019, à l'adresse des soignants il n'y va pas avec le dos de la cuillère : « je voulais (…) d'abord (…) dire ma considération aux personnels soignants, médecins, sages-femmes, infirmiers et infirmières, aides-soignants, aides-soignantes qui ont fait, je dois le dire, un des plus beaux choix de vie, qui est de se consacrer aux autres, soigner, être là dans les moments difficiles de l'existence des Français, quand la maladie, les blessures ou les morts surviennent. » C'est la même bouillie réchauffée qu'il ressert aux personnels de l'Éducation nationale (l'EN) ce 16 septembre 2022 : « Je veux aussi vous exprimer toute ma gratitude pour le travail exceptionnel de chacune et chacun d’entre vous pour faire progresser l’égalité des chances et faire reculer l’échec scolaire. Ces objectifs ont été au cœur de nos préoccupations ces cinq dernières années. »

À l'école du bobard

Au chapitre « bobard de la lucidité et de l'écoute » en 2019 pour les hospitaliers, il nous sort la grosse caisse : « J’ai entendu leur colère et leur indignation face à des conditions de travail qui sont parfois devenues impossibles. Face aux salaires compressés, aux rythmes effrénés, aux difficultés matérielles parfois concrètes dans des services où il n’y a pas suffisamment, plus suffisamment de soignants qui sont là et des difficultés matérielles qui se sont accumulées et avec, au fond, un sens perdu qui est ainsi ressenti, quand rien ne fonctionne plus dans les services au quotidien, ni l’ascenseur, ni le matériel manquant, ni l’absence de lits, ni les plannings à boucler quand il faut remplacer les absents au pied levé. C’est cela, la réalité, en effet, dans trop d’endroits. » Le 16 septembre 2022 pour l'EN, les mots lui tombent de la bouche comme des enclumes : « Cependant, il nous faut être lucide : notre système scolaire ne réduit pas suffisamment les inégalités de naissance, décroche dans les évaluations internationales, et suscite souvent la défiance. Trop d’élèves sont malheureux, ne trouvent pas leur place à l’école et ne trouvent pas leur voie ensuite. Trop de professeurs ne sont pas reconnus comme ils le devraient et perdent parfois le sens de leur mission. »

Le sens du bobard

Au chapitre « bobard du sens et des moyens » en 2019 pour les personnels de l'hôpital, c'est le cœur sur la main qu'il passe en fanfare : « Il faut qu'on redonne plus de place, qu'on redonne plus de sens à ceux qui soignent, et qu'ils puissent mieux participer, mieux être associés aux décisions les plus fondamentales. Je crois que c'était au cœur de l'hôpital français à l'origine. Il faut aussi redonner une place plus intelligente et pertinente à nos personnels de santé. (…) Cette décision redonnera des marges de manœuvre financières. Plus de moyens, mais pas seulement. C'est un plan là aussi beaucoup plus large qui doit répondre à la situation actuelle. Nous devons investir et assumer d'investir plus fortement que nous n'avions au début envisagé de le faire parce que la situation est encore plus grave que celle que nous avions analysée. » Le 16 septembre 2022, il sabre le champagne face aux bons chameaux de l'EN : « Nous vous donnerons les moyens de réaliser ces projets collectifs. D’abord en vous accordant une liberté pédagogique qui vous permette à tous de retrouver le goût et le sens de vos missions, et de faire progresser nos élèves. Il revient bien sûr à l’échelon national de fixer les objectifs des programmes, c’est-à-dire les savoirs à transmettre et leurs finalités, mais il appartiendra désormais au niveau local de choisir les moyens de cette transmission, à travers des méthodes et des projets idoines. Un fonds d’innovation pédagogique de 500 millions d’euros permettra de financer au plus près du terrain, le plus rapidement possible et au fur et à mesure de vos besoins, les évolutions que vous estimerez utiles. »

Bobards en refondation

Au chapitre « bobard de la refondation » on en arrive enfin à la cerise sur le gâteau que tous les soignants de France et de Navarre attendaient en 2019 : « Aujourd’hui, nous avons besoin d’une refondation. Il faut stopper le processus qui a conduit à la banalisation du passage par les urgences, faute d’un accès simple et facilité à un système de santé réellement adapté à la situation de chacun. (…) Le pacte de refondation des urgences représente 754 millions d’€ de moyens supplémentaires engagés sur la période 2019-22 au bénéfice des services d’urgences, des établissements de santé et des acteurs de ville du système de santé » (3). Et ce 16 septembre 2022, il sort le grand jeu pour la marmaille des profs et assimilés : « Aussi, dès le mois d’octobre, nous lancerons partout en France ce chantier de la refondation de l’école en proposant à chaque école, chaque collège, chaque lycée qui le souhaite de bâtir un projet qui lui est propre en mettant tout le monde autour de la table, les chefs d’établissements, les directeurs d’écoles, les enseignants et toute la communauté éducative, les parents d’élèves, les élèves, les partenaires associatifs ou économiques, et les élus des collectivités territoriales. »

Bobards en bouquets

Et le bouquet final provisoire en cette mi-septembre 2022, c'est sons et lumières et feux d'artifices. Rien n'est assez gros pour dissimuler, une fois pour toutes, leurs aspirations préhistoriques. La nécessité de nous fusiller socialement, économiquement, culturellement. Pour garder le pouvoir sur notre travail. Et en faire une montagne de profits.  : « Ma volonté, vous l’avez compris, est de vous donner les coudées franches pour faire réussir vos élèves. Partir du terrain pour rénover notre école : c’est, en quelque sorte, par rapport aux réformes engagées jusque-là, une révolution copernicienne que je vous propose. Ensemble, nous pourrons refonder cette aventure collective qui cimente notre Nation. C’est en forgeant des citoyens dans ses écoles que la France pourra bâtir une société de respect et de progrès, et poursuivre son combat séculaire pour l’humanisme et l’universalisme. »

Au delà des bobards

La bande au banquier Macron nous soigne en détruisant l'hôpital. Elle nous éduque en coulant l'école. Elle éteint les feux en cramant les pompiers. Elle allonge l'espérance de vie en bonne santé en ruinant les salaires et les retraites. Ne parlons pas de la planète.

La Sécu : révulsif à bobards

En 1946, tout semblait si simple. 2022, tout semble si compliqué avec 2500 milliards de PIB. 1946. La France est détruite. Le PIB est ras des pâquerettes. Mais on lance le régime général de la Sécurité sociale. 1946. C'est la Sécurité sociale des travailleurs. Elle enterre celle qui existait avant. Celle du grand patronat. Les cocos et les CGT ferraillent en 1946 pour populariser le régime général de la Sécu et instituer des principes d'avenir contre le capitalisme d'hier et d'aujourd'hui : caisse unique, suppression du plafond de Sécurité sociale, intégration de tous les régimes complémentaires, taux de cotisation interprofessionnel unique, hausse massive du taux de cotisation, gestion par les seuls salariés, exclusion des employeurs et de l'État de la gestion de nos salaires, extension du statut de producteur aux parents, aux soignants, aux retraités contre la suprématie du productivisme industriel. La technique de la cotisation et celle de la répartition sont le fer de lance d'une révolution sociale, politique, culturelle qui mettra du temps à prendre toute son ampleur et à s'imposer dans les mentalités. En 1946, c'est le doublement du taux de cotisation salariale et patronale qui passe de 8 à 16%. C'est le triplement du montant des allocations familiales. Dans les années 1960, c'est une augmentation considérable du taux de cotisation maladie qui financera sans emprunts, sans banques, la création des centres hospitaliers universitaires et le conventionnement de la médecine de ville. Dans les années 70, ce mouvement de hausse se poursuit. De 1970 à 1983, le taux de cotisation passe de 42 à 61%. De 7 à 17% pour la cotisation salariale. De 35 à 44% pour la cotisation patronale. C'est la hausse du taux de cotisation vieillesse. Avant 1970 la retraite représentait 40% du salaire à 65 ans ; en 1972, on est passé à 50% du salaire. Jusqu’en 1983 les cotisations salariales et patronales augmentent régulièrement. Pour une population qui est passée de 40 millions d'habitants en 1946 à plus de 67 millions en 2022, c'est la victoire de l'augmentation de l'espérance de vie pour l'ensemble des travailleurs. En 1910, l'espérance de vie des ouvriers est de 48 ans. Jusqu'à la fin des années 60, l'espérance de vie des ouvriers ne dépasse pas 65 ans. Aujourd'hui elle est de 80 ans. La retraite à cessé d'être l'antichambre de la mort pour devenir une nouvelle étape dans le cours d'une vie. 76 ans d'existence pour la Sécu. Mais il n'y a jamais eu de trou de la Sécu. Sauf dans la bouche de ses ennemis. Sauf dans les bobards comptable de la Cours des comptes, de l'État. Le seul et unique gouffre qui existe c'est celui du Capital. Le gouffre qui fait disparaître plus de 5000 lits d'hôpital en pleine crise sanitaire. L'abîme qui depuis plus de vingt ans démantèle l'hôpital public et la recherche publique. Le trou noir, le « Black Rock », qui organise la destruction des pensions de retraites. Et tant d'autres calamités. Pour les retraites, hier et aujourd'hui, ça n'a jamais été un problème de vieillissement de la population, ni du rapport entre actifs et retraités. L'enjeu c'est ce dont on a besoin et la somme totale prise sur le PIB par le biais des cotisations. L'enjeu c'est de socialiser l'ensemble du PIB. Et de mettre dehors le principe de profit qui ne sert à rien. Nous l'avons fait en 1946. Des salariés par milliers dans les rues. L'auto-organisation sociale comme principe vital contre le Capital et contre l'État. Nous en avons récoltés les fruits aujourd'hui. Nos parents toujours en vie à 86 ans avec 30 ans de retraite. Et continuer à rire ensemble, à se prendre dans les bras, à râler parce que le corps fout le camp.

La répartition : vaccins à bobards

Et pour finir. Les retraites. C'est l'histoire de leurs catastrophes. Car la capitalisation ça ne marche pas. Historiquement ça ne marche pas. En 1853, faillite de la capitalisation pour les pensions des officiers de l'armée. En 1850 ils lancent la caisse vieillesse : faillite en 1884. En 1910 ils lancent la caisse des retraites ouvrières, faillite en 1928. En 1928 ils lancent les assurances sociales, faillite en 1941. La capitalisation est une technique qui ne marche pas pour nous, les assurés sociaux. Les capitalistes le savent. Pour eux c'est à chaque fois une occasion de se mettre nos salaires sous la dent. Il faut attendre 1946 pour que nous puissions prendre le dessus. Avec le Parti Communiste au pouvoir et la CGT à la manœuvre. Nous réussissons à imposer la technique de la répartition contre la capitalisation. Nous sommes au cœur de la bataille des retraites. Avec la répartition on prend une part de la richesse produite dans l'année par le travail et on la distribue directement, en salaires, en direction des salariés. Qu'ils soient actifs ou retraités, parents ou soignants. La technique de la répartition n'a rien à voir avec un salaire différé, ni avec une solidarité intergénérationnelle ou interfamiliale. La répartition s'oppose au profit. Ce n'est pas un magot, une capitalisation, qu'on met de côté pour pouvoir spéculer et pour l'utiliser en cas de besoin. La technique de la répartition utilise la richesse produite dans l'année même pour répondre à tous les besoins de l'année et constituer le revenu de chaque salarié. Personne ne se trouve exclu de la répartition. 2021. 2500 milliards de PIB (4). C'est le pognon de digue que nous avons tous produit en une année. C'est ce qu'il reste une fois qu'on a enlevé toutes les dépenses. 2500 milliards d'euros! En 2021 on est 51 746 522 à avoir vingt ans et plus (5). Ça nous fait du 4000 euros par mois. Pour les actifs, femmes, hommes, intermittents, sans emplois, étudiants, soignants, retraités, parents qui prennent en charge les enfants en bas âge. « Si par hasard il y avait une différence avec votre feuille de paye, nous déclinons toute responsabilité et nous vous prions de vous adresser au SAV Macron & Cie ». Car lui, sa bande de charlatans, le grand patronat ont gardé la différence. Et jurerons par tous leurs saints que « c'est pas moi, c'est la dette ». « La guerre en Ukraine ». « Le covid ». « Les terroristes ». « La croissance ». « Les vieux ». « Les jeunes ». « Les immigrés ». « La religion ». « La transition écologique ». « Le réchauffement climatique ». « Les pompiers ». « Les profs ». « Les cheminots ». « Les feignasses de chômeurs ». « La CGT ». Ce sera tout ce que vous voulez, mais surtout pas les capitalistes. Ils ont le sens de l'organisation lucrative. Et des bobards pour nous faire passer des vessies pour des lanternes.

Anti-bobards d'avant-garde

Les capitalistes sont réglés comme du papier à musique. Leur haine est viscérale par principe. Tous les prétextes sont bons pour faire un carton contre les enseignants et la fonction publique. Ces femmes et ces hommes dont le statut est à abattre parce qu'il est à l'avant-garde du monde de travail. Presque 6 millions de salariés dans la fonction publique. Un cinquième des actifs. Et les besoins sociaux ne cessent pas d'augmenter. Alors comment faire pour que leur travail qui se réalise sans patrons, sans dividendes, sans banquiers puisse rapporter quelque chose aux banques, au grand patronat & Cie ? La première des choses c'est d'arrêter de recruter des fonctionnaires, de mettre en extinction les systèmes de concours de recrutement et dans le même temps, à chaque fois que l'occasion et les besoins se présentent, embaucher des salariés contractuels. Les enfants en situation de handicap à l'école : 130 000 contractuels pour s'en occuper. Les méga-feux : 50 000 pompiers contractuels à engager. La Covid19 : des milliers de postes à pourvoir. Des contractuels en veux-tu en voilà ! Pour les mêmes missions ! Mais sans statut ! Payés au lance pierre ou en dessous du seuil de pauvreté, quand il ne faut pas qu'ils courent après leur salaire ! C'est une jubilation pour la bourgeoisie et le capital, le rêve de la mise en marché et de la mise en concurrence de l'ensemble du service publique. Quelle fête de rafler les cotisations qui ne sont pas versées ! Quel bonheur les exonérations de cotisations patronales ! Viva le pactole des financements publics sans contrôle ni contre-partie ! Alléluia le retour au bercail de l'emploi pour les innombrables salariés qui en étaient sortis depuis plus de 75 ans. À ce jour l'ensemble de la fonction publique dans ses trois versants (d'État, hospitalière, territoriale) compte pour plus de 25% de contractuels. Alors ce dont ils ont horreur c'est que nous puissions avancer tous de front. C'est que nous cherchions à nous organiser. Une grande partie de leur travail est de nourrir culturellement, politiquement, économiquement, juridiquement notre division. En dépit du fait que nous formions un grand tout salarial face à eux. Le Tiers-État de Sieyès face à l'aristocratie d'aujourd'hui c'est nous. Notre tâche est de subvertir à notre profit l'ensemble de l'édifice capitaliste. Nous avons bien avancé depuis 1789. Mais il reste bien sûr du pain sur la planche.

Courage à toutes, à tous.

1. Message du Président aux personnels des services hospitaliers, 14 novembre 2019

2. Lettre du Président aux professeurs et aux personnels de l'Éducation nationale, 16 septembre 2022

3. Pacte de refondation des urgences. Parce que chacun détient sa part de solution, 9 septembre 2019

4. https://www.insee.fr/fr/statistiques/6438733?sommaire=6438793

5. https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474

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