Ciel, qu'ais je fais?Oh moi,objecteur de conscience,j'ai brisé l'omerta!
Voyez vous donc,j'ai fais un crime de lèse majesté: j'ai osé porter quelque chose que nos chers médias ne voulaient pas que je parle,voilà pourquoi ils m'ont haï.Ils se sont lancés dans une vilaine croisade contre moi pour briser toute prise de concience collective autrour du suffrage unviersel.Je n'ai pas changé d'avis, je maintiens et je signe que le suffrage universel,c'est un instrument d'oppression.Parce que le peuple de France,n'a pas la culture publique,qui lui permet en toute connaissance de cause de choisir les meilleurs dirigeants.Les règles du jeux sont f aussés,entres moultes corruptions et collusions, les meilleurs,les vraies sont écartés,seuls subsistent d'affreux et d'affreuses gestionnaires.Pire nos maîtres se jugent au combien supèrieur alors que la France à maintenant la sagesse pour se gouverner par et pour elle même.
Ils gèrent selon leur propre règles,leur jeu de réélection,même pas l'intérêt général.Mais ce n'est pas tout.Tel platon disait de socrate:socaret a été empoisonne car il génait,il a voulu aller trop loin et on le fit supprimer".
Ce jour là,une personne en qui j'avais confiance,talentueuse comedienne m'as trahis.Elle m'a trahis parce que sa petite personne et ses revenus d'existence étaient menacés et m'a sacrifié.
Je suis le légitime propriétaire et créateur de la critique du suffrage universel pour remettre ensuite le tirage au sort,juste parce que j'ai cité une personne jugé mauvaise.Je pensais bien faire,je me suis trompé et j'ai fait mon examen de conscience.Je n'ai même pas été écouté,mon opinion est jugé mauvaise à l'emporte pièce.
Scélérats perfides vous ne représentez que l'ombre de vous mêmes.Votre indignation sélective ne vous sera jamais profitable et même pire,mes succeseurs me vengeront.
Apologue contre la censure,écrit.Je ne cite personne mais les mots ont plus de poigne que les matraques.
Parce que je n'aime pas ni la censure,ni les clivages sulfureux.