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Billet de blog 10 janvier 2019

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DÉNI DE JUSTICE ET D ACCÈS AU DROIT

L' un des axes essentiels dans la restriction des libertés individuelles, dans le cadre d'un harcèlement en réseau, est le déni de justice.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Si ces droits existent bel et bien, et ne sont pas ouvertement niés, c'est l'incapacité d'y accéder qui est organisée de telle sorte qu'il en résulte au final, une absence effective de droits constitutionnels pour la personne ciblée.

Je prends toujours pour exemple mon cas, et les principales menaces qui me guettent:

- Psychiatrisation. 

Or en la présence de preuves validant ce harcèlement, ces insultes qui ne peuvent être l'objet d' hallucinations auditifs ou de paranoia, il est très difficile de poser un diagnostic pouvant valider un internement. D'autant plus que mon médecin traitant atteste de ma bonne santé physique et mentale.

- Criminalisation

Une telle procédure ne pourrait reposer que sur de fausses preuves et faux témoignages. En 40 ans, j'ai eu une vie tout à fait dans les clous, avec un casier judiciaire vierge, aucune fréquentation douteuse et un engagement citoyen et associatif perpétuel.

- Impossibilité d'accéder à ses droits en matière de représentation

Or, j'observe que mes plaintes ne sont pas toujours prises en compte, et terminent souvent en main-courante.

Lorsque je saisis sur la plateforme dédiée à cet effet des plaintes pour atteintes aux biens (vols, piratage informatique.....), je ne suis jamais contacté. Je ne peux donc pas poser correctement ma plainte. En dernier recours, il m'arrive d'écrire directement au procureur.

D'autre part, l'avocat que j'ai engagé, personne tout à fait charmante par ailleurs, s' est toujours soigneusement abstenu de faire le travail pour lequel je l'avais engagé, à savoir de la veille au niveau des juridictions afin de s'assurer qu'aucune procédure n'était en cours et tenir au courant les différentes partis prenantes de ma procédure de son évolution (parquet, chef départementale de police, préfet...).

Je devais apprendre après procédure auprès du batonier, que cet avocat était en fait interdit d'exercer (document ci-dessous). Il ne pouvait donc faire aucune des démarches que je lui demandais de faire, et qu'il m'assurait de mener à bien. Par ailleurs, j'ai aussi appris de ses propres aveux qu'il avait été en contact avec un des personnes potentiellement impliquée dans ce harcèlement en réseau.

Illustration 1

Les rares fois où j'ai eu affaire à d'autres avocats, certains m'ont découragé d'aller plus avant dans ce dossier, tandis que d'autres ne se donnaient même pas la peine de me recontacter.

Un avocat pourtant attribué via l'aide juridictionnelle s'est même récusé sans se donner la peine de prendre connaissance de mon dossier, ou me recevoir en rendez-vous.

Au final, très concrètement, si demain je suis inquiétée, je cours le risque de n'être pas représentée, alors même qu'avoir un avocat afin de défendre ses intérêts, reste un droit. Et je pense qu' empêcher une cible d'être correctement représentée, tout comme l'isoler socialement, est l'un des axes stratégiques fondamentales du harcèlement en réseau.

La dernière procédure que j'ai lancé est celle auprès du Juge aux Affaires Familiales, afin de statuer sur le droit d’hébergement et de garde de mon bébé de 5 mois.

Contrairement aux deux plus grands, j'éduque seule la dernière que j'allaite toujours à ce jour. Mon engagement auprès d'elle est totale, ayant mis ma vie professionnelle entre parenthèses afin de m'en occuper exclusivement.

Son père n'a pas souhaité sa naissance, il ne l'a vu qu'une fois et ne s'est plus jamais soucié d'elle.

Le réseau n'y est peut-être pour rien, mais je ne peux m'empêcher...n'étant plus une citoyenne disposant de ses droits manifestement, qu'il lui serait malgré tout possible dans ce contexte d'en avoir la garde.

J'ai décidé, dans un souci de transparence et afin d'aider d'autres cibles dans mon cas (les femmes seules avec enfants étant les cibles privilégiées de ce harcèlement en réseau) d'exposer mon cas pratique.

Je publierai au fur et à mesure les avancées des différentes procédures qui me concernent, sur ce fil.

En voici la première: Saisine du JAF

Le 17 janvier 2019

Suite à un premier envoi, le JAF m'a renvoyé l'intégralité du dossier accompagné de ce courrier ci-dessous, m'invitant à y ajouter certaines pièces dont un acte de naissance intégrale avec mention de la reconnaissance (???...sachant que je suis le seul parent ayant reconnu l'enfant concerné)

Illustration 2
Illustration 3
Illustration 4
Illustration 5

Le 13 février 2019

Des petites nouvelles de l' état d’avancement de mon dossier auprès du JAF (demande au juge aux affaires familiales), mais avant toute chose, une définition, celle de l'habillage juridique.
L habillage juridique est l une des techniques de déni de service, visant à donner l illusion qu il y a justice alors que c est juste un tour de passe passe juridique.
L exemple récent le plus probant est celui d une magistrate parisienne:http://www.leparisien.fr/faits-divers/une-procureure-adjointe-du-parquet-de-paris-mise-en-examen-12-02-2019-8010534.php
Je me suis donc rendue auprès du TGI pour prendre des nouvelles de mon dossier de demande au juge des affaires familiales.

Pour rappel, je m'occupe seule de ma fille qui a 6 mois depuis sa naissance, et son père est un illustre absent qui ne l'a vu qu'une fois.
En me rendant auprès de ce tribunal pour prendre des infos sur le suivi, j ai pu me rendre compte qu on ne retrouvais notre dossier ni avec mon nom, ni avec celui de ma fille... Mais avec celui du père, un illustre absent.
J ai reçu l appel d un agent (on répond pas à l écrit à mes mails... Pratique !) qui n a pas non plus réussi à identifier le dossier.
C est moi qui lui ai donné les références communiqués par une personne aussi empathique que professionnelle au TGI. 
Ce que j en déduis: il y a une probabilité, même infime, pour qu un dossier parallèle ait été montée par une personne qui n a absolument aucun lien avec nous, et dossier substituable à tout moment au mien ... La mère qui s occupe effectivement au quotidien de l enfant.
Je parle au conditionnel, avec pour exemple le cas de cette magistrate parisienne. Ces pratiques existent donc, ce n'est pas de la fantasmagorie.


Dans un contexte de harcèlement en réseau, je serai bien sotte de n être pas plus vigilante qu à l accoutumée.
Après tout, j ai bien été délestée d une certaine sommes un avocat n ayant plus le droit d exercer. On dirait que justement, plus c est gros et plus ils osent..
De plus, ne recevant pas correctement mon courrier (plainte auprès de la poste qui m à informé d une enquête dont je n ai toujours pas le résultat), je ne sais si j ai reçu un courrier ou une convocation quelconque, en rapport avec cette affaire.

  1. Illustration 6


Le seul moyen de les avoir est de régulièrement me rendre auprès des tribunaux, où je n'ai pas reçu d'infos la dernière fois, au motif que je n avais pas de pièce d identité à leur présenter.
Jusqu ici rien d anormal...
Le truc, C est que les 2 fois précédentes non plus, je n avais pas de pièce d identité, or comme vous pouvez le voir plus haut, 
Ils m ont même donné un ECRIT, mince...
Bref, je m inquiète peut-être pour rien et j ai peut-être tendance à penser qu il y a baleine sous roche, mais je n ai plus trop de foi excessive en la justice de ce pays qui ne fonctionne pas bien.

Je serai pas étonnée qu'une problématique transverse émerge (tentative d'hospitalisation sous contrainte, fausse accusations et criminalisation...) pour que je n'accède pas au simple droit d'être reconnue comme seule parent, puisque telle est la réalité, de ma fille.

Ci-dessous le dernier élément attestant le dépôt auprès du JAF de mon dossier. Compte tenu des risques qu 'encourt dans la plus grande indifférence ma cellule familiale, je prends la liberté de laisser le numéro de dossier, et celui de la chambre concernée ... Au cas où je serai un jour empêchée de pouvoir le mener à son terme. 

Il est important de comprendre les techniques d encerclement de ce système, et la façon dont ceux qui le perpétuent, peuvent avec le réseau adéquat, complètement détruire la vie de quiconque leur déplaît (qu il s agisse du comportement ou du faciès), en instrumentalisant n importe quelle institution et corps intermédiaire. 

C est très grave. 

Illustration 7

 Mise à jour au 07 février 2019

J ai reçu une lettre de la Poste reconnaissant un dysfonctionnement qui peut expliquer pourquoi je n'ai pas reçu correctement mes correspondances jusqu'ici. (ci-dessous). 

C est probablement la raison pour laquelle j ai pu recevoir, avec une semaine de décalage et une enveloppe à moitié ouverte, la convocation que je dois faire signifier au père biologique de la fille. (ci dessous) 

Je suis depuis, victime d une recrudescence de menaces et intimidations, car pour une raison que je redoute (mais dont je ne parlerai pas encore sans certitude), 

Cette démarche visant à ce que j obtienne la pleine et exclusive autorité parentale sur ma fille, semble gêner. 

Je suis pourtant la seule à m'en occuper au quotidien, son père biologique étant complètement absent tant en présentiel que matériellement/ financièrement. 

J Attends donc de voir si ces menaces seront suivis d'actes, forcément illégaux (attaques physiques, tentative de psychiatrisation ou en fermement sur la base de faux témoignages et fausses accusations) ,

visant à m'empêcher d'aller au bout d'une démarche aussi naturelle que légitime. 

Avant d'agir à mon tour. 

Illustration 8
Illustration 9

 ACTUALISATION au 16 mars 2019

Actuellement, j ai 4 dossiers en cours dans plusieurs juridictions différentes.

1) Le premier concerne la procédure en cours pour "harcèlement moral", c est ainsi que le harcèlement en réseau que je dénonce à été caractérisé.

Dans le cadre de cette procédure, j'avais pris un conseil juridique qui m'a finalement escroqué(cf, point 4). 

2) Le second concerne mon audience au JAF de BOBIGNY prévue à la mi avril pour ma benjamine, encore allaitée, de 7 mois dont je m'occupe seule. Pour rappel, le père est complètement absent, et ne l'a vu qu'une fois. Sauf surprise, je devrais me voir attribuer la garde et autorité parentale exclusive de ma fille.

Je dois cependant être vigilante car ma fille est source de nombreuses convoitises, comme en témoignent des allusions à peine voilées mettant en cause, sous couvert de la blague, ma légitimité de mère . Je me sens "en danger" imminent face à cette volonté irraisonnée et illégale de vouloir à tout prix, porter un préjudice (même dans la simple intentionnalité) à  notre cellule familiale.

3) Le troisième concerne une aide juridictionnelle accordée dans un dossier de succession. Particularité du dossier: les 2 avocats successifs se sont dessaisis du dossier . J espère que le 3ème fera le job. C est très troublant car cette démarche n'a rien de vindicative. Elle est au contraire pacificatrice, et les ayants droits en sont informés. 

Je ne comprends pas pourquoi ce dossier n'aboutit pas.

4) The last but not the least: ma plainte auprès du battonier, dont la décision est tombée (ci dessous )et m'autorise à poser une plainte de droit commun, pour ESCROQUERIE je pense.

J espère que la police, avec cette décision officielle, prendra enfin ma plainte car ils ne les prennent pas 9 fois sur 10...et lorsqu'ils la prennent, elle est parfois rédigée de façon inintelligible.

J ai ainsi du faire plusieurs fois des compléments visant à rectifier le tir. Je serai donc parfaitement vigilante quant à celle-ci.

  1. Illustration 10
Illustration 11
Illustration 12

LA simultanéité de ces procédures visent à me faire perdre temps, énergie et argent.

Mais surtout, cela a peut-être pour objectif de me détourner de la véritable attaque. J ai écrit un article façon  "prospective" sur les scénarii possibles d'une telle attaque.

J ai découvert par exemple que je faisais l'objet d'une campagne de calomnie m' accusant de "négligence" sur des enfants qui ne traînent jamais dehors, sont soignés, ont un langage impeccable et vocabulaire dense, sont épanouis et heureux. Je les néglige tellement que je les ai inscrit en école privée (où ils on fait le plus gros de leur scolarité) et que je ne les déplace qu'en VTC, parce que l' état des transports, comme la plupart des services publics, est quasi chaotique en banlieue.

D'ailleurs, Je me réserve le droit de porter plainte pour diffamation une fois la source identifié. 

Je réduis par ailleurs mes interactions avec certaines sphères. Et je me filme toujours lorsque celles ci sont nécessaires...en cas de fausses accusations et faux témoignages. 

Il n' est pas interdit de se filmer, ni de diffuser quelque chose qui relève de mon propre droit à l'image.

Bien que consciente du danger qui plane, je reste sereine et intègre, en espérant que la justice fera correctement son travail.

Car je ne suis malheureusement pas à l'abri de procédures parfaitement illégales, reposant sur des MANIPULATIONS JUDICIAIRES qui n'auraient aucune légalité dans un vrai état de droit, n'ayant reçu aucune convocation, et n'en étant pas informée à ce jour.

ACTUALISATION au 18 mars 2019

Deux des dossiers précédemment cités ont quelque  peu avancé (ou reculé, au choix):

3bis) La dernière avocate désignée par le TGI s'est désisté au motif qu'elle ne traitait pas de dossiers de successions. Car trop lourd.

J'ai eu beau lui expliquer que c'était plus du conseil que j'attendais d'elle, plus que réelle procédure étant dans une  démarche de médiation...que nenni !

C est même pas elle qui a appelé, mais c est sa secrétaire qui avait l'air soulagée de pouvoir raccrocher.

Ça pue de plus en plus le blacklisting cette affaire.

4bis) J'ai été enfin posé ma plainte contre l'avocat escroc. 

Pendant toute la période où j'étais absente, on s'est introduit chez moi et on a bougé pas mal d'affaire. 

J' ai ainsi retrouve un guide d'accès au droit (range au fin fond d'un carton) posé sur les affaires de ma fille, celle dont le dossier est actuellement au JAF.

J'en ai d'ailleurs profité pour demander des renseignements sur mes dossiers annexes à l'officier.

Il m' a ainsi appris que n' importe qui peut reconnaître ma fille a mon insu, s'il passe par un notaire...et ensuite la prendre sans en être inquiété, s'il n y a pas de jugement. 

Et ce même si au quotidien, la petite n'a de contact qu'avec moi.

Ahem...Je passe au JAF jusqu'en avril, donc jusque cette date c 'est une épée de Damocles que j'ai sur la tête.

Je pense que les opportunités de montage juridico-administratives vont se multiplier. J ai intérêt à être très vigilante car c'est l'occasion qui fera le larron. 

Si par voies frauduleuses et illégales (avec la complicité institutionnelle), on parvient à me faire hospitaliser sous contrainte ou enfermer (même quelques heures, à la faveur d'une audition illégitime), ça pourrait être l'occasion qui fera le larron...

Autrement, ils ne peuvent pas.  S'ils s'en tiennent à la loi, ce qu'ils ne font jamais, ils ne peuvent pas me nuire.

Cette éventualité  me rassure d'autant moins que j'ai "oublié" ma pièce d'identité au commissariat...

Je sais pas pour vous mais moi, j'ai vu tous les épisodes de "the Shield", et je suis pas très rassurée à l'idée que ma pièce toute neuve, nouvellement retirée (la police est la première institution à qui je l'ai présenté ) soit dans la nature...dans le contexte qui est le mien, car cela pourrait faire la faveur de n'importe quel habillage juridique.

Parano? Non, juste réaliste, en l'absence de toute naïveté. Je ne peux plus m'offrir dans ma situation le luxe de faire confiance: In God I trust, in others ...i check!

Surtout lorsqu'il s'agit d'institutions dont on connait l'état de délitement. Je peux encore, à la limite me raccrocher à la solidarité résiduelle qui este encore dans certains corps intermédiaires et une partie de la société civile...du moins, je l'espère.

Car sinon à défaut d'être crue, je serai cuite!

Affaire à suivre. Plainte ci dessous.

Illustration 13
Illustration 14

 Actualisation au 23 mars 2019

Expérience aux frontières du réel avec la police, la justice et mon entourage.

1) Police

Suite à mon dépôt de plainte au commissariat, on m'a informé que mes papiers y étaient restés. Il s 'agissait du dossier JAF de ma fille, et non ma pièce comme je l'ai cru un premier temps.

Impossible que j'ai oublié ce dossier au commissariat. Il n est pas sorti de mon sac. A aucun moment, me semble t- il.

De retour chez moi, une de mes "colocataires", une des plus actives dans mon HCR (surveillance, fouille des affaires en mon absence, détournement de courrier...) n'a eu de cesse de faire des allusions indirectes à "l'alhzeimer", "la demence" et "l'enfermement".

Ces allusions m'ont rappelé un épisode dont au commissariat. C est ce que j'appellerai une scène "opportune ":

un homme enfermé dans une cellule jouxtant la salle d'attente, au commissariat de ma ville, et qui tambourinait sur le mur mitoyen...hurlant à la mort "laissez moi sortir!"

Cette scène m'a troublé  tout comme le fait que la coloc évoque la thématique de l'enfermement et de l' alzheimer... (pour 1 supposé oubli... Ahem!) 

Plus tracassant:

J'ai été approchée dans ma sphère privée par une agent de police,  qui avec du recul et à la faveur d'échanges ecrits entre cette personne, moi et un proche (que je ne publierai pas pour l'instant), à essayé de créer un vrai climat de confusion dans ma vie.

Cette personne en qui j'ai eu une confiance relative a, suivant ses propres dires, un vrai réseau solide dans son corps de métier. Je ne sais pas si cela a été exprimé pour signifier une volonté de protection ou de mise en garde...

Mais le ton agressif de ses derniers échanges ecrits ne m'ont pas laissé d'autre choix que celui de m'éloigner en espérant que cela ne va pas entraîner  des représailles car il est communément admis que c'est pas un corps de metier réputé pour être  très tendres avec certains publics, public auquel j'appartiens (noir, pauvre, pas de reseau, bref....)

Cette expérience privée m'a conforté dans mon idée que sauf urgence comme une agression physique, une intrusion où ils sont dans l'obligation d' intervenir, je ne ferai plus appel à cette institution qu'est la Police, pour l'instant.

Je passerai directement par le procureur.

2) Justice

Un reseau mettant en relation avocats et clients à essayé de me faire entrer en relation avec des avocats. Peut-être 4 ou 5.

A chaque fois que j'ai eu ces avocats avec qui on m'a mis en relation, ils communiquaient en me mettant en haut-parleur, pratique surprenante pour un échange supposé être confidentuel.

De toute façon, la plupart trouvaient, in fine, des raisons, une fois mon dossier exposé, pour ne pas me rencontrer. 

Et tous les avocats rencontrés en dehors de ce réseau ne m'ont jamais donné satisfaction: l' un d'eux, allant meme jusqu'a m' escroquer.

AUCUN avocat à ce jour n'a accepté de me représenter, suivant les directives que je demande. 

Je n'ai donc, et n'ai jamais eu à ce jour, d'avocat représentant mes intérêts.

3) Entourage

J'ai entendu un échange suivant lequel quelque chose était en train de se préparer à mon insu.

Une des personnes exprimait son agacement me concernant (Mais je crois que juste le fait que je respire peut agacer cet entourage dominant, et si mes doutes s'avèrent exactes, abusif), en se demandant quant cette situation allait prendre fin.

Il a ensuite été question de ma fille, puis d'une tierce personne à l'étranger, qui m' apparaît aujourd'hui comme celle qui a probablement LE réseau puissant, capable de faciliter certaines actions que le strict respect de la constitution ne permet pourtant pas. Elle a d'ailleurs avancé son agenda et sera probablement dans les parages les prochains jours. 

Il va donc y avoir du mouvement, puisque c est une des personnes décisionnaires et centrales, vers laquelle tout converge à chaque fois ... Sans que sa responsabilité puisse être directement mise en cause. 

Parmi les choses qu'elles semblent pouvoir faire en dehors de tout cadre légal, aussi bien en Afrique qu'en France (pays corrompu comme un autre) :

- Faire détourner mes correspondances,

- Ne pas faire signifier une convocation à l'intéresse d'une procédure lancée à son insy

- Ne pas lui permettre de voir un médecin pour faire établir un vrai certificat

- Ne pas respecter son intimité et sa vie privée

- Ne pas l'informer qu'une procedure la concernant est en cours, lui donner l'opportunite d'etre entendue si tel est le cas, ect...la liste est longue).

- Corrompre son entourage (voisins, famille, certains amis. .) pour créer un faisceau de faux temoignages

Ect.. .liste non exhaustive. 

Donc quelque chose se trame effectivement en ce moment...sans que je ne sache quoi. Tutelle? Curatelle? Faux dossier monté de toutes pieces et visant mon enfermement ?

Je crois que le succès de la manoeuvre réside dans le fait justement, que je sois tenue, dans la plus grande ignorance...avec la nécessaire complicité des institutions concernées.

Une des avocates blasées que j'ai eu au téléphone m'a affirmé qu'on ne pouvait réduire les libertés individuelles d'une personne sans qu'elle en soit informée...j'ai eu envie de lui coller à la face la notion d' "habillage juridique", qui peut être rendu possible grâce à un simple détournement ou rétention de courrier (cf, document de la Poste ci-dessus) et une usurpation d'identité (plainte déposée).

Il suffirait juste de vérifier pour en avoir le coeur net...ce qu'aucun avocat jusqu'ici ne semble vouloir prendre en charge.

Ça doit nécessiter une charge trop lourde de travail 1 courrier et 2 coups de fil...

Conclusion:

Nous sommes donc, non seulement dans un harcelement en reseau, mais aussi un harcelement etatique s'il est couvert par les institutions de ce pays.

Nous le saurons de toute façon bien assez tôt, mais je crains qu'il ne soit alors trop tard pour moi.

 Actualisation au 14 MAI 2019

Les campagnes de calomnie, de denigrement et les faux temoignages se poursuivent.

L'enjeu est de porter le discredit sur ma personne, de façon à ce que ce deficit de confiance finisse par gagner la problématique que je veux rendre visible. Celle du harcèlement criminel en reseau.

Une problématique que je devrais etre libre de pouvoir exposer, sans menaces implicites ni coercition, comme tout lanceur d'alerte.

Ainsi, lorsque dans la sphère privée,  je suis vilipendée ou verbalement attaquée pour une raison ou une autre, quelque soit la violence de la charge, je ne peux pas y repondre.

Cela risquerait de se retourner contre moi. Les provocations sont pourtant plethores.

Les rares fois où j'ai pris à temoin des personnes, preuves a l'appui (video attestant que j'etais bien la personne attaquée), ces personnes ont choisi de m'entrainer sur la piste de la psychiatrisation quant bien même,  je n'etais pas responsable de l'altercation.

Je me retrouvais donc victime d'une charge verbale que je n'avais pas provoqué  ET tenue pour responsable de l'attaque dont je faisais l'objet.

De même,  une campagne de calomnie très poussée concernant mon etat de santé physique et mentale, est à l'oeuvre.

La rhetorique de la "folie" ou de la "maladie" est allègrement déployée devant moi (j ai aussi des videos et audios le prouvant), comme une epee de Damocles menacant de s'abattre a tout moment.

J'ai pourtant les memes capacites physiques qu'auparavant me permettant de faire plusieurs kilomètres a pieds ou taper un Sprint en un temps honorable.

De meme, medecins et thérapeutes, seules personnes habilitées à poser un diagnostic, sont tombés d'accord sur ma parfaite santé mentale.

De quoi est-il question alors?

Il s'agit d'une construction purement discursive et mentale, ne reposant sur aucun fait etabli, et ayant pour but de creer un consensus autour d'un projet, celui de la reduction de mes droits et libertés individuelles.

Comment?

Faux temoignages:

A travers la collecte de faux temoignages, dont le nombre n'atteste certes pas de la véracité,  mais peut faire pencher la balance dans un sens plutôt qu'un autre.

Quand bien meme aucun de ces faux temoignages ne reposeraient sur des faits, comme c est le cas.

Faux et usage de faux:

La falsification d'une signature est d'une simplicité infantine, grace à une numetisation de l'image et un simple copier-coller.

Usurpation d'identité et utilisation de données personnelles:

Bien qu'une plainte ait été déposée, en l'absence d'investiguation, rien n'empeche un entourage malveillant, d'utiliser ces procédés frauduleux pour porter atteinte à vos droits,

Notamment dans le cadre d'un TRAFFIC DE FILIATION (en gros un vol de droits parentaux, rendu possible par un tour de passe-passe juridique).

Retention de courriers:

Une salve de courriers pour lesquels je n'ai pas eu de réponses, pas même les accusés de reception de mes recommandés, m'ont conforté dans l'idee, confirmée par la Poste (cf, courrier plus haut), que mon courrier ne me parvenait pas correctement. 

Des lors, comment etre certaine qu'aucune convocation ne m'a ete adressée, et qu'une procédure n'est pas à l'oeuvre à mon insu?

Refus de cooperer des administrations:

Je me suis donc rendue auprès du Tribunal d'Instance d'Aulnay sous bois, et du Tribunal de Grande Instance de Bobigny, afin de me renseigner sur l'éventualité d'un dossier en cours.

Ils n'ont pas voulu me delivrer d'attestation ecrite, seule preuve valable en cas de problème,  comme ils l'avaient pourtant fait quelques mois plus tôt  (cf, attestation postées plus haut).

Et je n'ai à ce jour reçu AUCUNE  CONVOCATION , comme je le leur ai signalé par recommandé dans une nouvelle salve de courriers recommandés. 

Illustration 15
Illustration 16
Illustration 17

 Lien vers la capture écran de l'interface laposte.fr depuis laquelle les recommandés ci-dessus ont été envoyés:

ar-docx (pdf, 390.6 kB)

Je me retrouve dans la situation kafkaienne du justiciable ne pouvant accéder à son dossier que j'ecrive ou que je me deplace comme je l'ai fait à maintes reprises.

Je pourrai avoir une audience ou un proces en cours, que je ne le saurai même pas.

Je ne parle meme pas du chemin de croix pour avoir un avocat.

A ce jour, je n ai toujours pas d'avocat, mandaté par le bureau d'aide juridictionnelle,  dans le cadre du dossier de succession. Il y a eu pas moins de 4 desistements successifs, et le dernier avocat joue le mort...

 L'avocat que j'ai payé de mes deniers, maitre KOUNKOU, s'est avéré etre un ESCROC notoire (cf, doc plus haut), qui lui contrairement à moi, n est pas inquiété à ce jour, pour les faits que je lui reproche et qui ont ete reconnus par le battonier.

De manière generale, tout est problematique, dans les demarches que je pose au quotidien. Je ne fais aucune supposition, juste le constat que les limitations (incapacities, suivant le concept cher à  Amartya Sen) sont constantes.

Le courrier fait par mon Assistante SOCIALE, pour le dispositif Dalo, est ainsi inutilisable car la date y figurant ne correspond pas à ma date de naissance.

Intrusion à domicile (espace privée ):

Il est en effet davantage question d'espace privée,  le domicile étant commun.

L'accès de mon espace privé est libre, dans un contexte trouble et dans lequel meme les personnes qui ne subissent aucune pression, ferment leurs portes à clef.

Or, complètement frappée d'illegitimite,  lorsque j'evoque cette nécessité de closure, je suis immédiatement suspectée de paranoia, de schizophrénie, de bipolarité....

(Des diagnostics assez pointus qu'aucune personne de mon entourage, pourtant prompt a employer ce vocabulaire scientifique,  n'est habilités à avancer.

Or à chaque fois que j'ai eu à me plaindre de quelqye chose, cela ne reposait que sur des faits, soutenus par des preuves.)

Et le fait est, pourtant, qu'il est bien plus facile de deposer chez moi, comme cela avait ete le cas dans mon precedent logement (un t-shirt),  des effets ne m'appartenant pas, et pouvant potentiellement me nuire.

Cela s'etend aussi à mon materiel informatique et telephonique (NTIC), qui a egalement subi de nombreuses intrusions et attaques, egalement signalés dans des plaintes ou main-courantes.

Conclusion:

Il devient de plus en plus compliqué d'accéder à ses droits.

Consulter un eventuel dossier releve du parcours du combattant, et avoir un avocat du graal.

Je suis a la merci de n'importe quel montage juridique, pouvant m'envoyer arbitrairement et sans preuves, du jour au lendemain en prison ou en psychatrie sur la simple base de faux temoignages concertés.

En depit de mon signalement a la police, aux services sociaux et aupres de certains corps intermediaires, l'etat de deliquescence des solidarités fait que je peux me retrouver piégée et séparée de mes enfants, et eux meme séparés  les uns des autres, sans que je puisse rien y faire.

Je ne compte ni sur le sens moral de mes bourreaux, ni sur un entourage qui n'a pas choisi mon camps...et encore moins sur un système aussi cyniquement dysfonctionnel, pour me sortir de cette situation si elle venait à advenir.

Ma seule option est la prévention et l'hypervigilance. 

N.B: 

Un des enjeux et une des consequences de ce montage juridique (une pierre 2 coups) , serait la garde de ma fille. 

Aussi, je me pose de plus en plus de question sur l'insistance malsaine de cet intérêt déplacé, et ait l'intention de procéder à un test ADN la concernant (sa conception ayant toujours été un sujet d'étonnement singulier pour moi),

Afin d'ecarter toute probabilité jusqu'ici meconnue.

De plus, la première  personne pouvant tirer benefice de toute reduction de mes droits et libertés individuelles, par un retrait meme momentané  (et carrément injustifié compte tenu de la mère que je suis au quotidien, et de ce que j'ai exposé  plus haut ) de garde d enfant à son avantage,

Est un delinquant sexuel qui n'en est probablement pas à sa première,  et dernière victime.

J'ai donc d'autant plus de raison de me battre.

Le 28 juin 2019

Beaucoup de choses que je prendrai le temps de venir detailler plus tard, se sont déroulés depuis me confortant dans l'idee qu une procedure illegale (ne m'ayant pas encore été signifiée) est peut-etre en cours.

Pour l'heure, le plus important est la pre-plainte en ligne déposée sous la reference A177a9ec7f  pour retention de courriers.

J'avais déjà informé les services postaux (cf, plus haut) qui ont fait une enquête. 

La retention pourrait donc etre d'ordre malveillante. C 'est une piste a explorer lorsqu'on realise que l'accusé de reception du TGI me parvient 1 mois (9 juin)apres que la poste signale la reception du courrier adressé par ce meme TGI (recu le 9 mai).

Je n'ai par ailleurs reçu aucune reponse du TGI de Bobigny, du TI d' Aulnay sous bois et de la MDPH de Bobigny.

Pourquoi?  Ils m'ont toujours (preuve au dessus) repondu et sont au courant de ma plainte pour usurpation d'identité. 

Donc à suivre...

 Actualisation au 14 août 2019

Je n'ai toujours eu aucune reponse à  ce jour des instances sollicitées  : Tribunal administratif, Tribunal de Grande Instance et MDPH.

J'ai uniquement reçu l'acceptation de ma demande d'aide juridictionnelle par le Bureau d aide juridictionnelle. Preuve donc que les services postaux fonctionnent très bien...

Actuellement en vacances à Londres, j'ai envoyé depuis l'etranger une demande de changement d'avocat (eux, peuvent se desister donc j'imagine que nous aussi!), car je souhaite etre représentée par une personne qui prend le temps, même brièvement, de me recevoir.

Actualisation  au 6 septembre 2019

La MDPH93 a fait son boulot et a répondu.  J avais déjà recu l' AR de mon recommandé  en temps et en heure.

Illustration 19

Pour les tribunaux, c'est une autre paire de manches....

Commencons par le TGI de Bobigny

Ils ne m'ont jamais répondu d'une part, et d'autre part, l'AR m'est parvenu, des mains d'une proche, le 6 juin...soit 1 mois après la date figurant sur l'accusé de reception.(ci-dessous)

Le courrier se serait baladé dans la nature, visitant peut-etre les plaines verdoyantes du 93, pendant 1 mois.

Du grand n'importe quoi....

Quant au Tribunal d'Instance, ni reponse, ni accusé de réception. 

J'ai donc relancé la Poste (nouveau recommandé à mes frais), qui m'annonce comme une fleur de printemps, contente d'elle-même, qu'elle l'a envoyé dans un bled du 95....alors que l'adresse figurant sur la lettre comme sur le formulaire de recommandé etait explicite (Tribunal d'Instance d'Aulnay sous bois dans le 93)

Ci dessous le courrier de la Poste, qui en plus d'acheminer le courrier a la mauvaise adresse, ne donne même pas d'accuse de reception. Et c'est moi qu'on insulte de Clown parce que je demande le rsspect de mes droits...

Tout ceci me laisse craindre, a la faveur de ces deni de service (courriers non distribués, pas de reponse aux requêtes faites) un deni de mes droits (eventuel habillage juridique...)

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