Le titre est volontairement ambigu:
Le coming-out est une libération. C'est l'occasion de ne plus se cacher et d'affirmer son identité face aux autres.
Il fait aussi référence à une musique de Diana Ross (que j'adore) tout comme aux origines supposées de ce harcèlement en réseau: ma participation à projet de documentaire visant à sensibiliser un jeune public sur les violences et discriminations dont la communauté LGBT est victime.
Communauté à laquelle je n'appartiens certes pas, mais dont je suis solidaire depuis toujours.
Voici les quelques réponses institutionnelles que j'ai reçu. Je reytracerai peu à peu l'ensemble de mon dossier à travers ce blog.
Réponses institutionnelles (après avoir sollicité le ministère de l'intérieur (epoque Collomb et Castener), différentes associations, quelques députés, et la police à de nombreuses reprises.
Réponse ministère de l'interieur Lettre département de police du LoiretA cela s'ajoute une lettre du même département annonçant l'ouverture de deux procédures, dont l'une toujours en cours. Elle s'orienterait vers mon ex-conjoint, une piste que je trouve trop "simpliste" au regard de la multiplicité des participants à ce harcèlement en réseau.
Dans un courrier récent, je leur demandais d'ailleurs d'élargir leurs investigations à mon environnement (social et territorial) présent.