Paroles: Leny Escudero Musique: Julian Escudero Année: 1982 J'ai vécu Au siècle des réfugiés Une musette au pied de mon lit Avec la peur au ventre Des humiliés Des sans logis Qui tremblent Les oubliés Aux mal-partis Ressemblent Ils sont toujours les bras ballants D'un pied sur l'autre mal à l'aise Le cul posé entre deux chaises Tout étonné d'être vivant Ils sont souvent les en-dehors Ceux qui n'écriront pas l'histoire Et devant eux c'est la nuit noire Et derrière eux marche la mort Ils sont toujours les emmerdants Les empêcheurs les trouble-fêtes Qui n'ont pas su baisser la tête Qui sont venus à contre temps Dans tel pays c'est mal venu Venir au monde t'emprisonne Et chaque jour on te pardonne Puis on ne te pardonne plus J'ai vécu Au siècle des réfugiés Une musette au pied de mon lit Avec la peur au ventre Des humiliés Des sans logis Qui tremblent Les oubliés Aux mal-partis Ressemblent On peut souvent les voir aussi Sur les photos des magazines Essayant de faire bonne mine* Emmenez-moi au loin d'ici Ils ont des trous à chaque main C'est ce qui reste du naufrage Ils n'ont pas l'air d'être en voyage Les voyageurs du dernier train Ils sont toujours les séparés Le cœur perdu dans la pagaille Les fous d'amour en retrouvailles Qui les amènent sur les quais Et puis parfois le fol espoir Si elle a pu si elle arrive De train en train à la dérive Et puis vieillir sans la revoir J'ai vécu Au siècle des réfugiés Une musette au pied de mon litAvec la peur au ventre source greatsong.net
J'ai vécu Au siècle des réfugiés Une musette au pied de mon lit Avec la peur au ventre Des humiliés Des sans logis Qui tremblent Les oubliés Aux mal-partis Ressemblent
Ils sont toujours les bras ballants D'un pied sur l'autre mal à l'aise Le cul posé entre deux chaises Tout étonné d'être vivant Ils sont souvent les en-dehors Ceux qui n'écriront pas l'histoire Et devant eux c'est la nuit noire Et derrière eux marche la mort
Ils sont toujours les emmerdants Les empêcheurs les trouble-fêtes Qui n'ont pas su baisser la tête Qui sont venus à contre temps Dans tel pays c'est mal venu Venir au monde t'emprisonne Et chaque jour on te pardonne Puis on ne te pardonne plus
J'ai vécu Au siècle des réfugiés Une musette au pied de mon lit Avec la peur au ventre Des humiliés Des sans logis Qui tremblent Les oubliés Aux mal-partis Ressemblent
On peut souvent les voir aussi Sur les photos des magazines Essayant de faire bonne mine* Emmenez-moi au loin d'ici Ils ont des trous à chaque main C'est ce qui reste du naufrage Ils n'ont pas l'air d'être en voyage Les voyageurs du dernier train
Ils sont toujours les séparés Le cœur perdu dans la pagaille Les fous d'amour en retrouvailles Qui les amènent sur les quais Et puis parfois le fol espoir Si elle a pu si elle arrive De train en train à la dérive Et puis vieillir sans la revoir
J'ai vécu Au siècle des réfugiés Une musette au pied de mon lit Avec la peur au ventre
Un collectif encore très confidentiel de victimes de violences sexuelles dans le Donbass, membre du réseau mondial SEMA, se mobilise en Ukraine pour repérer et accompagner les rescapées des viols commis par les soldats russes. Mediapart a pu les suivre.
La compagnie aérienne a été condamnée, en appel, à verser 8,6 millions d’euros de dommages et intérêts pour « travail dissimulé ». La firme irlandaise avait employé 127 salariés à Marseille entre 2007 et 2010, sans verser de cotisations sociales en France. Elle va se pourvoir en cassation.
Précaires et soumises à une concurrence croissante, les nouvelles générations de chercheurs sont incitées à développer leur « marque » personnelle sur Twitter, Instagram voire TikTok. Non sans effets pervers.
Les cliniques psychiatriques Clinea sont la filiale la plus rentable d’Orpea. Elles profitent des largesses de l’assurance-maladie, tout en facturant un « confort hôtelier » hors de prix à leurs patients. Pour les soins et le management, le modèle est un copié-collé du groupe.
Il ne faudrait pas que l’avenir du service public d’éducation soit absent du débat politique à l’occasion des législatives de juin. Selon que les enjeux seront clairement posés ou non, en fonction aussi des expériences conduites dans divers pays, les cinq prochaines années se traduiront par moins ou mieux de service public d’éducation.
Les salarié·es du médicosocial se mobilisent à nouveau les 31 mai et 1er juin. Iels réclament toujours des moyens supplémentaires pour redonner aux métiers du secteur une attractivité perdue depuis longtemps. Les syndicats employeurs, soutenus par le gouvernement, avancent leurs pions dans les négociations d'une nouvelle convention collective avec comme levier le Ségur de la santé.