eugénio populin (avatar)

eugénio populin

retraité

Abonné·e de Mediapart

1033 Billets

4 Éditions

Lien 16 juin 2016

eugénio populin (avatar)

eugénio populin

retraité

Abonné·e de Mediapart

La tenace volonté de proposer la paix entre policiers et manifestants

Grande manifestation, présence policière massive, vitrines brisées, blessés des deux côtés : le scénario est bien rôdé. Contre lui, des manifestants de Nuit debout et des policiers agissent ensemble pour tenter de stopper la violence.

eugénio populin (avatar)

eugénio populin

retraité

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

80.000 selon la préfecture, un million d’après les syndicats. Derrière ce grand écart des chiffres, un constat : à Paris, la manifestation du mardi 14 juin a massivement rassemblé. Venus des quatre coins de la France, des dizaines de milliers de personnes ont défilé entre la place d’Italie et les Invalides, contre le projet de loi travail.

Et c’est un cortège festif mais sous haute surveillance policière qui est parti de place d’Italie vers 14 heures. Au cœur de la foule, un petit groupe d’une vingtaine de manifestants attire l’attention. Autour de leur cou, des pancartes indiquent : « Je suis policier, contre la loi travail et les violences d’État. » Drapeau de son syndicat en main, Alexandre Langlois, secrétaire de la CGT-Police, se dirige vers un CRS qui, impassible, reçoit un tract. « Nous souhaitons que ce gouvernement ne puisse plus se servir de la police pour prendre les coups à sa place et qu’il arrête de ternir l’image des fonctionnaires qui sont du côté de la population »

.../...

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.