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Lien 17 décembre 2017

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Anne Sylvestre : "Je me vois comme un écrivain public : je trouve les mots"

J'ai le cœur qui flanche/ À te regarder/ J'ai le cœur en branches/ Tout en fleurs d'été/ Si ma bouche hésite/ Si je ne dis rien/ C'est qu'à dire vite /On ne dit pas bien (...). Ce sont les paroles d’une chanson, J’ai le cœur à l’ombre, ce sont les paroles d'Anne Sylvestre. Elles datent de 1964, elles figurent sur l’album, T’en souviens-tu de la Seine ?

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France Culture - Par les temps qui courent - Romain de Becdelièvre, le 15 décembre 2017 (58')

C'est la vie, on rit, on souffre, on perd, on gagne, on s'arrange, et certains moments aussi, on a le sentiment d'urgence. Pendant longtemps pour moi, il y a eu urgence. Qu'est-ce qu'il fallait faire quand ça n'allait pas ? Chanter et puis, écrire.

Parfois, je me réveille avec une chanson dans la tête, je ne sais pas d'où ça vient. J'ai toujours une musique dans la tête. Ce n'est pas anodin, une chanson, c'est compliqué, il y a une responsabilité. 

La mélancolie? Je ne sais pas, ça peut dériver vers un sentiment négatif, je n'aime pas trop ça. Il faut faire sa vie avec les choses négatives oui, mais ne rouler qu'à la mélancolie, non ! Ecrire pour en pas mourir, écrire fait beaucoup de bien.

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