parfois c'est un homme qui se dresse face à la "meute" pour dire "ça suffit" : c'est Nelson Mendela face à l'apartheid , c'est Zola pour Dreyfus...
parfois c'est un plus petit combat, un combat du quotidien , un "ça suffit"du lecteur du journal devant une statistique de croissance dePIB anomysant la misère et la souffrance
parfois ce "ça suffit" mène à une révolte parfois ce "ça suffit" c'est trop pour un seul homme qui ne peut alors que partir (je pense à Mamadou Gassama)
parfois ce "ça suffit" est compris , parfois il reste incompris par les autres
parfois il semble altruiste mais parfois aussi il est égoïste
mais souvent pour celui qu'il le crie ou le pense il résonne alors comme une question de survie , une rupture avec un avant et un après
voilà ce que peut évoquer la lecture du roman"Villa Amalia" de Quignard dont l'écriture est d'une belle et touchante simplicité