Donc, Marine est au pouvoir, ses chemises jaunes tenant la rue, les ronds-points.
Elle fait prêter serment les chemises jaunes à la République.
Elle indique à Étienne Chouard, et à des anciens gilets jaunes autorisés, de finir les travaux sur la Constitution et sur le R.I.C.
Marine renomme la France en "Union des Carrefours Riquiens Français", UCRF, le pays le plus démocratique au monde, elle est adulée par les populations mondiales.
Puis la nouvelle "démocratie directe française" se met en marche, surveillée par les chemises jaunes assermentées, donc "forcément" garantes de confiance des votes et de leur dépouillement... Marine, échappant à une tentative d'assassinat, un ancien policier adepte de son père Jean-Marie voulant venger sa 'trahison', donne tout pouvoir de police aux chemises jaunes, qui mettent en prison les terroristes qu'ils repèrent. Marine réouvre les bagnes pour de tels individus antidémocrates.
Des anarchistes étrangers en visite repèrent la supercherie et la dénoncent, mais leur voix est étouffée par la bourgeoisie internationale, de gauche qui les accusent de délire, comme de droite qui les accuse d'antidémocratisme comme le résultat des votes français des référendums est du libéralisme débridé.